1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... harcelait. Il attendait à mon arrêt et montait pour se presser contre moi. Ce jour-là, le pelotage commença dès que la rame se mit en marche. Il écarta rapidement mes cuisses. Je le laissais faire, j'étais complice de ce petit jeu idiot et je trouvais même ça un peu excitant. Après tout, ça ne pouvait pas aller bien loin. Jusqu'à ce que, si, les choses dérapent. Je le sentis défaire la taille de ma jupe et descendre sa braguette. Paniquée je regardais Reika, mais elle se contenta de m'adresser un regard perplexe, elle savait juste que j'avais aimé ça une minute plus tôt.
    
    Je sentis les doigts inquisiteurs s'introduire sous ma jupe et mes collants, puis dans ma culotte. Il passa la main dans ma toison et me caressa les grandes lèvres. À ma grande honte, j'étais un peu mouillée ce qui lui facilita encore plus la tâche. Je ne pus retenir un petit soupir quand un de ses doigts entra en moi. Reika pouffa et mit un doigt sur ses lèvres pour me faire signe de me taire. Pendant tout le trajet jusqu'à notre arrêt je fus constamment doigtée. Je ne pouvais rien faire pour l'empêcher ou résister et je fus à deux doigts de jouir ; ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas touché là. Serrant mes vêtements contre moi, je trébuchais hors du train en sortant.
    
    « Tu as aimé ça, riait Reika, et dire que tu te plaignais la semaine dernière!
    
    — Je ne pouvais rien faire contre, marmonnais-je. C'était contre ma volonté... »
    
    Mon impression d'être harcelée s'intensifia le jour suivant. Mon ...
    ... admirateur anonyme était de retour. J'essayais de rester aussi proche que possible de Reika, espérant que sa présence le dissuaderait, mais ça ne fit que rendre les choses pires encore. Elle était maintenant pressée contre moi, et pouvait lire les réactions sur mon visage dans les moindres détails. Les doigts défirent ma jupe et écartèrent mes cuisses, puis ils cherchèrent et trouvèrent immédiatement ma moiteur dans les replis de ma chatte.
    
    J'étais affalée contre Reika quand je sentis les deux plus grands doigts de l'inconnu glisser dans ma fente. Je me rendais compte que je voulais jouir, mais pas là, pas en public. Une fois encore, Reika pouffa en me voyant paniquer. Mais elle ne savait pas pourquoi : l'autre main de mon molesteur avait fait le tour et je sentis ses doigts brusquement glisser vers mon oignon alors que le doigtage frontal continuait. Lorsqu'on arriva à notre arrêt, j'avais deux doigts enfoncés jusqu'aux articulations dans ma chatoune pendant que de l'autre côté un autre doigt s'agitait comme un vers dans mon anus. Je sortis du train en manquant de tomber, essayant de garder mes vêtements sur moi.
    
    Quand je lui expliquais ce qui était arrivé, Reika rigola et me traita même de : « vilaine fille ». Le jour suivant, j'insistais pour qu'on prenne un autre chemin et Reika accepta de mauvaise grâce puisque cela rallongeait notre itinéraire. « Les lundis, on reprendra ce métro, » insista-t-elle. Je me soumis à sa demande, pensant que je pourrais supporter mon ...
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