1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... acheta des sous-vêtements de luxe : porte-jarretelles, bas, soutien-gorge, string et même deux strings ficelles. Je ne résistais pas à mon amie : j'avais besoin de son approbation ; et puis, je ne pouvais pas continuer avec juste deux petites culottes.
    
    Je savais que ce qui arrivait était mal. Mais cela semblait normal pour tous ceux que je connaissais à Tokyo. Et je ne voyais aucun moyen de m'en sortir sans foutre en l'air ma carrière. Je ne pouvais que tenir le coup.
    
    Chapitre 4 : Après le travail
    
    La semaine suivante commença comme je m'y attendais. Le peloteur du métro devait penser que c'était un jour spécial au travail : mes nouveaux dessous et l'absence de collant lui rendaient le doigtage beaucoup plus facile. Comme je l'avais déjà fait avant, je le branlais de l'intérieur de sa veste. J'eus l'idée saugrenue que j'étais devenue meilleure à cette tâche, ayant touché cinq verges différentes depuis notre dernière rencontre. Non que l'on ne se soit jamais vraiment rencontré, je ne savais toujours pas à quoi il ressemblait, il était toujours sur le côté, derrière moi. Malgré les facilités pour me toucher je résistais à la jouissance : mon self-control était devenu plus fort. Je sortis du train en ayant l'impression de réussir à prendre le contrôle sur ce qui m'arrivait : j'étais humiliée, oui, mais aussi moins vulnérable.
    
    Le travail se passa mieux aussi. J'apprenais à compartimenter ma vie. Peut-être que c'était la façon dont fonctionnaient les Japonais : le ...
    ... travail c'est le travail, le sexe c'était le sexe. Ç'aurait été encore mieux si j'étais arrivée à ne pas prendre les choses personnellement. Mais c'est compliqué de se dire ce genre de chose quand vous savez que cinq hommes différents dans le département vont vous payer pour avoir une relation sexuelle avec vous dans la semaine qui vient. Quoi qu'il en soit, je me concentrais sur mes rapports d'analyses : je recevais toujours de très bons retours dessus et mon évaluation n'était plus que dans deux semaines. Notre département obtenait d'excellents résultats.
    
    Mais il n'était tout simplement pas possible de rationaliser les pauses repas quand elles arrivaient : je subissais du sexe brutal aux conditions que fixaient mon partenaire. Bien que je devienne meilleure aux gorges profondes ou à la sodomie, je ne pouvais pas camoufler que c'était souvent inconfortable et toujours une activité intense. Je n'avais plus besoin d'aller en salle de gym! Et je n'arrivais toujours pas à m'habituer à la façon dont les traders se rassemblaient en bloc autour de celui avec qui m'avait baisé pour discuter de ce qu'il m'avait fait.
    
    Puis jeudi matin, Reika m'informa que j'étais invitée à une soirée dans un club. Apparemment M. Takashita et cinq autres directeurs conviaient leur assistante personnelle pour une fête privée. J'étais incluse, même si, en tant que sous-directrice, je n'avais pas d'assistante personnelle. Je pressais mon amie de questions, inquiète que je puisse une nouvelle fois me ...
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