1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... faire humilier.
    
    « Ne t'inquiète pas, me rassura-t-elle, je serais là. Fais juste ce qu'on te demande et profites-en. La nourriture sera très bonne. »
    
    Le soir nous partîmes tous ensemble comme un grand groupe joyeux. Je marchais un peu de guingois : mon partenaire de déjeuner avait voulu utiliser mon cul et il avait une bite assez petite, mais très volumineuse ; je sentais que mon trou du cul était encore bien écarté.
    
    Le club privé était très joli : l'intérieur était élégant avec de beaux meubles et des salles à manger discrètes dans le plus pur style japonais. De jolies filles portaient des robes à cocktail chic. Elles entraient et sortaient de partout : elles prenaient nos manteaux, apportaient les boissons et la nourriture, faisaient des yeux de biche et flirtaient avec les hommes. Nous avions une salle privée pour dîner, où un panneau vitré couvrait tout une partie de la pièce et offrait un panoramique sur le centre-ville de Tokyo. Chaque assistante s'asseyait à côté de son patron et lui prodiguait la plus grande attention. Je me sentais un peu laissée de côté, mais ils firent quand même attention à m'inclure dans toutes les conversations.
    
    Le repas fut vraiment excellent : le meilleur de la cuisine japonaise, bien que je remarquais que nous autres, les femmes, ne devions manger que de très petites quantités et seulement quand les hommes nous y invitaient. Ils burent de la bière et du saké. Je m'en offrais une petite gorgée et ce fut le saké le plus doux que ...
    ... j'ai jamais bu, il devait être vraiment très cher. Je fis attention à ne pas me retrouver ivre, je ne voulais pas qu'on puisse se moquer de moi.
    
    À la fin du repas, les discussions continuaient, et d'autres boissons furent servies. Puis, au signal de Monsieur Takashita, chaque assistante se mit à genoux devant son patron. Les pantalons furent débraguettés, chacune des femmes repêchant une bite et se mettant à prodiguer une fellation. Estomaquée je me contentais de regarder. Je ne savais pas quoi faire.
    
    À ma gauche mon amie Reika suçait la bite étonnamment imposante de Monsieur Takashita. Elle avait l'air d'une ado et notre patron était largement assez vieux pour avoir l'âge de nos pères. En fait, je savais qu'il avait une fille qui avait tout juste un an de moins que son assistante. Je remarquais que la technique de Reika était douce ; elle ne cherchait pas à le faire jouir rapidement.
    
    En face de moi, je pouvais voir la plus âgée des assistantes, Natsuki, rendre le même service à son patron. Cette femme calme et élégante avait 38 ans et était mère de deux jeunes ados. Son patron, qui avait son entrejambe caché par la tête de l'assistante en avait seulement 36. Une fois, j'avais demandé pourquoi ce directeur n'avait pas une assistante plus jeune et Reika avait alors doucement ri. Elle m'avait alors expliqué que c'était sa préférence, qu'il aimait avoir des femmes plus âgées qui le servent au doigt et à l'œil et qu'il traitait presque en esclave. Natsuki avait demandé à ...
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