1. Vacances torrides et première homo


    Datte: 22/11/2020, Catégories: hh, 2couples, fbi, hbi, jeunes, inconnu, copains, nympho, fépilée, vacances, intermast, facial, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hdanus, hsodo, init, inithh, occasion, Auteur: B32000, Source: Revebebe

    ... me prendre une rame de métro. Malgré ma douleur, je ressentais une chose étrange : le plaisir de faire jouir. Il sentait ma douleur, et pour cette raison, n’allait pas trop vite, mais il prenait un tel plaisir qu’il ne pouvait s’arrêter, et que je ne pouvais même pas envisager de lui demander d’arrêter.
    
    Il réussit, après un bon quart d’heure, à entrer totalement en moi. J’espérais que la douleur s’arrêterait, mais non. Il commença ses allers-retours, et je souffrais toujours. Mais ses allers-retours me procuraient tout de même du plaisir, tout comme sentir sa bite frotter la mienne, la nuit précédente, avait déclenché mon premier orgasme. Sa bite frottait en moi, et j’aimais ça. Ses gestes furent soudain plus hachés, plus saccadés. Ses mouvements moins amples.
    
    — Tu vas jouir ? demandai-je.
    — Oui !
    — Te gêne pas.
    
    Je le sentis hésitant.
    
    — Tu préfèrerais dans ma bouche, proposai-je.
    
    Il ne répondit pas, mais je sentis tous ses muscles s’arrêter de fonctionner. Je serrai un grand coup les fesses, lui provoquant un spasme qui faillit le faire jouir.
    
    — Réponds !
    — Oui.
    
    Sans un mot, je me retournai. Sa bite sentait mon cul, ma merde, mais cela ne me refroidit pas. Au contraire. Ce sentiment d’être possédé, de lui appartenir, m’excitait d’autant plus. J’engloutis entièrement sa bite, et me mis à l’œuvre. En moins de trente secondes, je sentis son sexe se tendre, à plusieurs reprises, en même temps que les jets de son ...
    ... sperme m’inondaient la bouche. J’essayai d’avaler, mais la plus grande partie coula de ma bouche. Je gardai néanmoins sa bite un moment dans sa bouche, le temps qu’il débande doucement.
    
    Après quelques instants, il me repoussa, et me dit :
    
    — Si je suis pas pédé, après ça, je suis au moins bi.
    — Ouais, ris-je.
    — Mais je ne dois pas être égoïste. C’est ton tour maintenant.
    
    Et moi qui croyais qu’il allait se sentir trop mal, ne plus jamais vouloir en parler… Il se jeta sur ma bite. Après quelques instants de fellation, il m’offrit son cul. Comme pour moi, je ressentis sa douleur, mais le plaisir était trop intense. Je n’arrêtais pas de penser : « Putain, je m’offre le cul de Benoît ! Je m’offre le cul de mon meilleur pote ! Il m’a joui dans la bouche ! Moi, je vais sûrement lui jouir dans le cul ! » Et c’est ce que je fis. Après quelques courts instants, je ne pus me retenir et j’éjaculai en lui. Une fois que les esprits se furent refroidis, il me dit :
    
    — La vache ! On a fait quoi, là ?
    — On s’est prouvé qu’on avait plus besoin des filles, dis-je en riant.
    
    Il rit à son tour, et retourna se doucher. J’attendis qu’il finisse et j’y allai à mon tour.
    
    Durant ces vacances, nous ne ramenâmes pas d’autres filles à l’appartement. Chaque fois que nous avions des envies (deux ou trois fois par jour), nous gérions cela ensemble. Nous ne recroisâmes pas Charlotte et Djouher, mais ces vacances restèrent les meilleures de ma vie. 
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