1. Vacances torrides et première homo


    Datte: 22/11/2020, Catégories: hh, 2couples, fbi, hbi, jeunes, inconnu, copains, nympho, fépilée, vacances, intermast, facial, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hdanus, hsodo, init, inithh, occasion, Auteur: B32000, Source: Revebebe

    ... trop. On se regarde se branler.
    — Oui, répondit-il.
    — Ou on peut se branler l’un l’autre, proposai-je alors.
    
    Le tout pour le tout. Ça passait, ou ça cassait.
    
    — Ça fait pas pédé ? demanda-t-il.
    
    Merde. La question qui tuait. J’étais persuadé qu’il voulait, mais qu’il essayait de se rassurer. Je décidai alors de tenter l’ultime coup.
    
    — Tu te sens pédé ? demandai-je.
    — Non. Je crois pas.
    — Ok. Donc tu n’es pas pédé.
    — Non, pas que je sache.
    
    Ce doute qu’il avait me montrait clairement qu’il n’était pas homophobe, juste terrifié à l’idée de ne pas être la personne qu’il croyait depuis 25 ans.
    
    — Donc, tu n’es pas homo. Et c’est pas, je pense, une branlette qui va changer ce que tu es.
    — T’as sûrement raison.
    
    Je savais parfaitement, et lui aussi, qu’on ne se contenterait pas de la branlette, mais cela le rassurait. Et je commençais à en avoir vraiment très envie.
    
    — Mieux : si c’est moi qui te branle, c’est comme si c’était une fille. Donc là, tu n’es pas pédé du tout.
    
    Ce dernier ridicule argument eut raison de lui.
    
    — Ok, dit-il. Vas-y.
    
    Je posai ma main sur son sexe. Comme je m’y attendais, sa bite était dure et douce à la fois. Presque tremblante. Lorsque je fermai ma main, il eut un petit sursaut. Je n’arrêtai pas mon geste pour autant, et commençai de très très lents va-et-vient avec la main. Rapidement, je vis apparaître ce petit liquide translucide au bout de son sexe, que j’appelais poétiquement "la rosée du matin".
    
    Tout en continuant ...
    ... de le masturber doucement, j’étalai ce liquide avec mon pouce sur son gland. Il commença à soupirer doucement. Je savais que je le tenais. Sans prendre la peine de lui demander, je me penchai alors et gobai son gland d’un coup. Il ne réagit pas, me laissant faire. Ce qui, pour moi, compte tenu du moment, équivalait à : «Vas-y, suce-moi, pompe-moi ». Je commençai alors à le sucer, plus vite que je le branlais, en essayant de lui faire tout ce que j’avais moi-même aimé.
    
    Je réussis à rentrer tout son sexe dans ma bouche, lui tirant alors un petit cri. Je m’installai un peu mieux à mon aise, m’allongeant presque sur le canapé. En toute honnêteté, je pensais que nous en resterions à cette pipe que je lui faisais. Mais lorsque je sentis ses doigts se glisser entre mes fesses, chercher mon trou, je compris que, quitte à se faire un mec, Benoît voulait aller jusqu’au bout.
    
    Je sentis son doigt me pénétrer doucement, une phalange après l’autre. Cela me fit un peu mal, ce qui ne me laissait rien présager de bon pour la sodomie. Je le laissais néanmoins faire. Il me mit alors un deuxième doigt, qu’il rentra doucement aussi. Quand il s’apprêta à mettre le troisième, j’arrêtai de le sucer, et dis :
    
    — Tu veux peut-être mettre autre chose que tes doigts ?
    
    Il hocha la tête. Je me mis à quatre pattes sur le canapé, et il se mit à essayer de forcer mon passage. La seule lubrification était la salive que j’avais laissée sur sa bite. La pénétration fut un enfer. J’avais l’impression de ...
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