1. Vacances torrides et première homo


    Datte: 22/11/2020, Catégories: hh, 2couples, fbi, hbi, jeunes, inconnu, copains, nympho, fépilée, vacances, intermast, facial, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hdanus, hsodo, init, inithh, occasion, Auteur: B32000, Source: Revebebe

    ... deux filles (ce qui permettait à l’autre d’échouer). Ce soir-là, malgré l’alcool et le monde, je ne réussis pas. Je me présentai donc seul au bar, un peu abattu (mais pas perdant, la soirée était loin d’être finie). Benoît rappliqua avec dix bonnes minutes de retard, mais une fille à chaque bras. Ma mâchoire faillit toucher le sol en les voyant.
    
    La première, qui semblait la plus stable sur ses jambes, était blonde, m’arrivait au montant. Elle était plutôt mince, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir des formes particulièrement généreuses. Je misais un bon C pour son bonnet de soutien-gorge. Délicatement maquillée, sa tenue était pourtant très claire quant à ses intentions : minijupe qui laissait entrevoir les fesses à chaque mouvement et soutien-gorge de maillot de bain. Ses yeux étaient vitreux, mais ils perçurent immédiatement le désir qu’elle m’inspirait.
    
    La deuxième, un peu plus grande, d’origine algérienne, appris-je plus tard, semblait nettement plus atteinte par l’alcool. Un visage gracieux, des cheveux longs et bruns, des yeux noirs profonds. Mais de petits seins et quasiment pas de cul. Une tenue plus sobre aussi : un débardeur et un pantacourt.
    
    Benoît me cria pour se faire entendre :
    
    — Voici Charlotte et Djouher !
    
    Nous restâmes une heure de plus dans le bar. À contrecœur, Benoît m’abandonna Charlotte, car il remarqua qu’elle semblait plus attirée par moi. Cela ne l’empêcha pas de lui mettre plusieurs mains aux fesses, dont plus d’une passa sous la jupe. ...
    ... Vers une heure du matin, nous les invitâmes à l’appartement. Elles ne se firent pas prier.
    
    Une fois arrivés, ils tombèrent tous les trois sur le canapé. Je me chargeai de servir les verres. Deux whisky-coca (moi et Benoît), un gin-fizz (Charlotte) et "juste un coca" (Djouher) que j’arrosai d’un peu de whisky tout de même, sous l’œil amusé de Charlotte. Une fois les verres servis et en main, Djouher se leva et se dirigea vers le balcon.
    
    — Vous avez une trop belle vue !
    
    Je me sentis obligé de la suivre, histoire qu’elle ne se rompe pas le cou en tombant. Les doigts de Benoît commencèrent à parcourir gentiment le corps de Charlotte. Comprenant que nous venions d’échanger nos filles (contre mon gré), je m’approchai derrière Djouher et l’enlaçai. Ma main gauche caressa doucement son sein, tandis que la droite, glissée sous son débardeur, descendait doucement de son ventre vers son pubis. Avant que mes doigts ne passent sous son pantacourt, je la sentis prête à passer dans ma chambre. Quant à elle, elle avait forcément senti mon érection qui s’était durcie contre ses fesses.
    
    Nous nous retournâmes, et je fus personnellement particulièrement surpris de ce que je vis : Charlotte était assise à califourchon sur Benoît. Sa minijupe reposait à quelques mètres d’eux. Elle ne portait plus que son soutien-gorge et un string qui n’empêchait pas le bermuda de Benoît d’être visiblement trempé de mouille. Je fus particulièrement étonné qu’ils en arrivent si loin devant nous, mais la ...
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