1. Vacances torrides et première homo


    Datte: 22/11/2020, Catégories: hh, 2couples, fbi, hbi, jeunes, inconnu, copains, nympho, fépilée, vacances, intermast, facial, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hdanus, hsodo, init, inithh, occasion, Auteur: B32000, Source: Revebebe

    ... n’avions enfilé de sous-vêtement. Notre nudité ne nous gênait plus. Je me glissai sous la douche et commençai à me relaxer. Mes idées vagabondèrent sur la soirée de la veille, et mon sexe commença à se dresser. Je le croyais pas. J’avais en ce moment un rythme sexuel explosif, et j’allais devoir me branler ! J’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir.
    
    — Désolé, faut que j’aille pisser, me dit Benoît.
    
    La cabine de douche était fermée par une porte de verre totalement transparente. La buée n’ayant pas encore eu le temps de se déposer totalement, Benoît vit parfaitement à travers que mon sexe disait bonjour au soleil. Et moi, de même, je constatai que Benoît n’était probablement pas là pour se soulager d’une envie d’uriner, mais plus probablement d’une envie de jouir. Si notre nudité, dans l’absolu, ne nous gênait plus ; cet instant fut particulièrement embarrassant pour nous deux.
    
    — Toi aussi, dis-je.
    — Oui. La soirée d’hier a été trop riche en émotions.
    — C’est sûr. T’avais récupéré leur numéro avant de les ramener ?
    — Non, et toi ?
    — Non plus, répondis-je.
    — Faudra faire sans elle, apparemment.
    — Des garces comme elles, ça va être dur à trouver.
    
    Pendant ce bref échange, sans même m’en rendre vraiment compte, mon regard était resté fixé sur la bite de Benoît. Comme la mienne, elle n’était pas énorme, un peu plus grosse peut-être, mais de peu. Je la trouvais belle. Droite. Sans veine énorme pour la déformer. Le gland naturellement décalotté, sans pour ...
    ... autant être circoncis. Je ne m’étais jamais arrêté ainsi sur une bite. Je n’en avais jamais vu une en vrai non plus… Je relevai la tête vers le visage de Benoît, et constatai qu’il était focalisé sur ma bite.
    
    « Il se passe quoi, là », pensai-je.
    
    Il releva la tête à son tour et remarqua que je l’avais surpris.
    
    — Euh, enfin…
    — On pourrait se branler côte à côte, proposai-je.
    
    Cette proposition était ridicule. Déjà il n’accepterait pas, et s’il acceptait, compte tenu de la tension sexuelle qui régnait entre nous, je ne pensais pas qu’on en resterait là. Peut-être même avais-je envie qu’on aille plus loin.
    
    — Ok, répondit-il, à ma plus grande surprise. Finis vite fait de prendre ta douche, ensuite c’est mon tour et on se retrouve sur le canapé.
    — D’accord.
    
    Putain ! Encore plus clairement que moi, il voulait qu’il se passe un truc ! S’il voulait juste qu’on se branle côte à côte, il n’y avait pas besoin de se doucher… Si on se douchait, cela signifiait qu’on allait probablement se…
    
    Je stoppai là mes pensées. Je me douchai très vite, sortis de la cabine et allai l’attendre sur le canapé. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je n’avais jamais été attiré (consciemment) par les hommes. Et voilà qu’une partouze avec deux nanas me donnait des envies.
    
    Une poignée de minutes d’attente plus tard, il revint. Tout comme moi, sa bite était toujours dressée. Tout comme moi, il semblait déstabilisé. Il s’assit à côté de moi.
    
    — On fait comment ?
    — Je ne sais pas ...
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