1. Vacances torrides et première homo


    Datte: 22/11/2020, Catégories: hh, 2couples, fbi, hbi, jeunes, inconnu, copains, nympho, fépilée, vacances, intermast, facial, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe hdanus, hsodo, init, inithh, occasion, Auteur: B32000, Source: Revebebe

    ... lui, mais le dos tourné vers lui.
    
    — Elle a un cul d’enfer, me dit-il.
    
    Je constatai effectivement, que cette fois, il s’occupait de la partie sodomie. Je m’avançai vers elle, et dans une position digne d’un film porno, je rentrai dans sa chatte. Encore une fois, cette délicieuse sensation me parcourut. J’étais moins serré que dans Djouher, mais la chaleur et l’humidité du vagin de Charlotte, combinées aux frottements de la bite de Benoît que je sentais autant qu’avant, me firent prendre un pied d’enfer. Nous fûmes cette fois-ci plus performants. Et nous tapâmes au moins un quart d’heure en elle avant que Benoît ne s’exclame :
    
    — Je vais jouir !
    — Retirez-vous, supplia Djouher.
    
    J’obtempérai à contrecœur, n’étant pas encore au bord de l’orgasme (pas loin, mais pas au bord). Charlotte et son amie se jetèrent sur la bite de Benoît, toutes les deux la croupe tendue. Je choisis la plus proche (Charlotte), et la sodomisai. Pendant ce temps, Charlotte avait le gland de Benoît en bouche et Djouher le branlait. Je le vis se crisper, Charlotte ayant un léger mouvement de recul tandis qu’il éjaculait dans sa bouche. Elle n’avala rien, mais une fois qu’il eut fini de jouir, elle entrouvrit la bouche et laissa le sperme s’échapper le long de sa bite.
    
    Djouher s’empressa de le lécher et de l’avaler. Quand elle eut fini, elle approcha son visage des fesses de son amie en me disant :
    
    — Ne jouis pas dedans. Ma bouche t’attend.
    
    Cela suffit à déclencher mon orgasme. Je me ...
    ... retirai d’un coup, et sans lui laisser le temps de réfléchir, j’enfonçai ma bite dans la bouche de Djouher, en la tenant par les cheveux. Ce genre de comportement n’est pas habituel chez moi, mais j’étais véritablement en transe. Je rentrai entièrement dans sa bouche ; son nez touchait mon ventre. Et je jouis. Une nouvelle explosion. Elle ne broncha pas, et avala tout.
    
    Une fois fini, je m’assis à côté de Benoît, épuisé. Sans un mot, les deux filles allèrent dans la salle de bain, se lavèrent rapidement, nous saluèrent et partirent. Nous n’échangeâmes même pas nos numéros de téléphone. Une fois qu’elles eurent claqué la porte, Benoît s’exclama :
    
    — Quelles salopes !
    — C’est clair, répondis-je.
    
    Nous étions tous les deux nus, côte à côte, en sueur, nos cuisses se touchant presque et nos sexes encore à moitié dressés.
    
    — J’arrive pas à y croire, ajoutai-je.
    — Si je m’étais douté que je ferais une partouze avec toi un jour…
    — Tu en as déjà fait ? demandai-je.
    — Non.
    — Ok.
    
    Un silence.
    
    — On devrait aller se coucher, dis-je.
    — Ouais.
    — Bonne nuit.
    — Toi aussi.
    
    Le lendemain matin, lorsque nous nous réveillâmes… Enfin, vers quinze heures, lorsque nous nous réveillâmes, nous ne reparlâmes pas de la soirée de folie que nous avions vécue. Je voyais dans les yeux de Benoît qu’il était encore d’une certaine manière dans le cul de Charlotte. Ou dans la chatte de Djouher.
    
    Benoît se prépara un petit-déjeuner, pendant que j’allais prendre une douche. Ni lui ni moi ...
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