L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... hurla, mais je laissai l’objet le temps qu’elle s’habitue. Je l’avais mis de 15 cm dans son anus et je commençai un mouvement de va-et-vient, ressortant la bite de bois pour le renfoncer encore plus loin. Lui demandant ce qu’elle pensait de ma queue, elle me demanda d’y aller moins fort, je la défonçais trop. Dommage pour toi, il ne fallait pas tricher, mais je ralentis le rythme de la pénétration.

Pierre était revenu, il s’était roulé dans la boue et avait mis des fringues trouvées je ne sais où, il sortit sa queue et je retirai l’instrument de son petit trou du cul. Je quittai la pièce le laissant avec les filles. Il retira le bandeau, car la noire cria à la découverte de Pierre.

Sa punition était finie, Pierre m’expliqua la surprise de la noire et son horreur de l’avoir vu dans un tel état, elle était convaincue qu’un clochard l’avait pénétrée. Mon copain alla prendre une douche au réservoir pour retirer la boue et aussi pour se calmer.

Un réservoir avait été monté sur le toit du chalet et il était alimenté par une conduite d’eau venant d’une source. Il suffisait de faire pivoter le tuyau pour remplir le bassin qui était chauffé par le soleil.

Il était dans la cabine que depuis deux minutes, quand la rousse y pénétra à son tour en racontant qu’il ne fallait pas gaspiller l’eau, et elle se déshabilla pour se glisser sous la chute d’eau tout en se frottant à Pierre. Brusquement, elle se mit à genoux et saisit le sexe de l’homme dans sa bouche et elle le suça ...

... jusqu’à ce qu’il atteigne une dimension respectable.

— J’ai envie de ta queue, viens me la mettre là où ma copine s’est fait prendre.

Décidément, c’est une manie, pensa Pierre. La rousse se retourna, lui prit sa queue et la posa entre ses fesses et la fit glisser doucement. Il effleura sa chatte avec son membre raide quelques instants et remonta avec lenteur plus haut, elle ne bougeait pas,

Il posa son sexe sur l’ouverture de ses reins. Elle se cambra, du coup il pénétra ses fesses de quelques millimètres, elle cria de surprise, mais pas de douleur. L’anneau de ses fesses s’assouplit.

Saisissant ses hanches à deux mains, il la sodomisa avec lenteur, l’emmanchant complètement presque sans effort. Il sentait son cul le serrer, il allait et venait dans cette croupe, accompagné d’un balancement sensuel. Elle mit sa main entre ses cuisses et elle branla son clito, il perforait ce fourreau étroit lorsque la fille jouit avec un cri sauvage. L’effet fut immédiat sur Pierre et il déchargea dans son cul violé (mais pas trop tout de même). Elle se redressa en le regardant et le traita de salopard :

— Je n’aurais pas cru que tu le ferais, lui dit-elle.

Incroyable, il faut l’entendre pour le croire, pensa Pierre.

La fille rousse ressortit de la douche et laissa l’homme se préparer à redescendre vers la vallée, mais avec un très beau souvenir qu’il ne pourra hélas pas raconter un jour à ses petits-enfants

L’après-midi s’était passé à faire de l’escalade et les filles ...