1. L'orage


    Datte: 11/04/2018, Catégories: fh, fffh, nympho, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Jopat, Source: Revebebe

    ... certaines ravissantes. Le repas était simple, composé des réserves de secours laissées chaque saison par les guides de montagne. Deux femmes m’aidaient. L’une était en soutien-gorge et l’autre en body, ils avaient fini de sécher sur elles. Dans la salle qui nous servait de pièce commune, les vêtements séchaient, des petites culottes aussi, à qui étaient-elles ? J’eus le temps d’apercevoir une fausse blonde qui se drapait dans une serviette de bain. Elles avaient le nécessaire pour la plage, mais pas pour la montagne, inconscientes ! Mais j’étais heureux du résultat.
    
    La jeune femme qui avait vu ma queue, portait maintenant une jupe façon tzigane très légère et lorsqu’elle passait devant la cheminée elle laissait voir par transparence ses cuisses. Une des culottes qui séchait était-elle à elle ?
    
    Le souper fut gai et arrosé de vin blanc, il aida à faire oublier l’orage et le tonnerre qui effrayait mes invitées. Des plaisanteries fusaient, elles parlaient de leur situation : un homme pour elles seules ! On aurait dit un corps de garde (elles n’avaient pas froid aux yeux).
    
    Les sous-entendus étaient on ne peut plus clairs, l’une d’elles sortit de son sac des boules de geisha et expliqua à sa voisine l’utilité de cet accessoire, marcher avec son ventre plein et le frottement des boules sur ses petites lèvres l’excitait en attendant un homme. Et elle donna les boules à sa copine pour qu’elle essaye.
    
    La seule à ne rien dire était ma tzigane. Elle m’observait tout en ...
    ... ayant l’air de me goûter. Il faisait chaud, ma chemise était ouverte, je surprenais son regard sur mon torse. Le mien, à la dérobée, voyait ses seins bouger sous le léger caraco et lorsqu’elle se penchait apparaissaient deux adorables pointes. Je n’étais pas le seul à avoir chaud, mes compagnes étaient toutes en petite tenue, l’une d’entre elles dînait les seins à l’air, des seins lourds avec des pointes violettes.
    
    De gros seins qui n’attiraient pas les mains, ni autre chose d’ailleurs ! Je préférais de loin les petits seins. Ceux de ma tzigane par exemple, étaient tout mignons, tenant certainement dans une seule main. Mais, que pensait-elle, à cet instant précis ? Ses yeux étaient maintenant tournés vers la cheminée et ils brillaient comme des joyaux. Était-ce le reflet du feu ? Et à quoi pensait-elle ? Elle avait l’air d’être bien, assise auprès du feu qui la caressait tendrement de ses flammes rouges. Elle se leva, elle n’était pas assez près et tous ces brouhahas de petites poules en chaleur… Il y avait une peau sur le sol, elle pensa qu’elle était faite pour elle et s’allongea dessus à plat ventre, les jambes relevées de telle manière que l’on voyait dépasser une partie de sa toison foncée. Le feu dansait sur son corps, caressait ses épaules dénudées. Elle était bien, c’est comme s’il n’y avait qu’elle dans la pièce. Elle sentit mon regard et tourna la tête dans ma direction comme pour vérifier que je n’étais pas un mirage. À ce moment, une des filles, celle aux seins ...
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