L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... refuge. La vengeance était lancée, j’espérais qu’elles ne seraient pas trop dures avec Fatima, ce n’était pas un crime tout de même d’aimer se faire prendre par ses reins. Je rejoignis le refuge et trouvai la fille nue, attachée à genoux sur une chaise, la croupe offerte. La vue était très excitante et me provoqua une érection, tendant mon short de quelques centimètres. La tzigane le remarqua et je ne m’en cachai pas. C’était grâce à elle si j’étais là avec un sexe tendu, peut-être voulait-elle la place de la noire, mais dans l’intimité ?

La noire me regarda avec surprise et inquiétude, je lui expliquai que j’allai la baiser quand je le voudrai, maintenant ou plus tard, c’est moi qui déciderai et surtout devant ses copines qui la verraient se faire sodomiser. Sur cela, elle eut un frisson et demanda pardon, ses tremblements remuaient son beau cul de façon émouvante. Je lui bandai les yeux et la laissai seule.

J’avais entendu au loin le bruit caractéristique d’un moteur de 4x4, mais il était encore loin, le bruit portait dans la montagne. Mon ami fut là une heure après, et la fille était toujours attachée. J’exposai l’histoire à Pierre en lui expliquant qu’il ne devait pas la pénétrer avec son membre. Il fut surpris, mais accepta. Le contraire m’eût étonné et je lui laissai entendre que des jeunes filles seraient attentionnées pour lui.

Je rejoignis la noire en faisant du bruit et pendant ce temps-là Pierre se prépara en se faisant « crade ». Les filles n’étaient pas ...

... présentes et c’est moi qui la punirai !

Fatima demanda si c’était moi, je dis oui, mais ses amies étaient là aussi. Elle était ankylosée, je la massai, en profitant pour effleurer son corps. Trois copines m’avaient vu rentrer dans le chalet et maintenant m’encourageaient, Fatima les traita de salopes.

Je pris sur une étagère un morceau de bois sculpté en forme de santon par un précédent voyageur. Ce morceau de bois ressemblait à un champignon allongé, il était lisse et long de 25 cm environ, pas très gros. Le sculpteur ne l’avait pas achevé, seule la base était finie avec des pieds qui me permettaient de le tenir en main pour l’usage que je voulais en faire.

Je lui racontai que devant ses copines mon membre allait tout simplement la défoncer, et joignant le geste à la parole, je glissai le santon le long de sa chatte et remontai le long de son sillon jusqu’à l’ouverture secrète de ses reins. Elle ne pouvait plus ignorer ce que j’allais faire et je poussai le pal de quelques millimètres. Son anneau s’ouvrit, elle cria, car elle n’était pas lubrifiée. J’avais une envie et un sexe prêt à exploser, tout cela me donna envie de remplacer le morceau de bois par ma bite, je l’aurais certainement fait si les nanas étaient absentes, elles devaient s’en douter, voilà pourquoi elles assistaient à la punition. Elles étaient, elles aussi, troublées par le châtiment, la rousse avait glissé sa main sur son ventre et se massait.

D’un seul coup j’enfonçai le gode dans son cul, elle ...