L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... elle resta sans voix tellement c’était beau. Elle venait de découvrir un coin magnifique et cela lui donnait des idées… Elle avait envie de se baigner nue dans cette eau si transparente ! De là-haut, personne ne pourrait la voir, l’endroit était si tranquille ! Elle entreprit de se dévêtir et rentra dans l’eau tout doucement d’abord, puis tous entière, l’eau était merveilleusement bonne. Elle l’a sentait passer entre ses cuisses, c’était très agréable. Elle se sentait légère comme si elle se trouvait sur un nuage. Elle n’avait d’ailleurs pas remarqué qu’elle était observée…

Elle s’avança dans la retenue d’eau et s’arrêta l’eau venait de lui frôler son ventre, les vaguelettes la caressaient, elle jouait avec l’eau en allant et venant pour que l’onde effleure ses petites lèvres. Parfois une vague plus forte lui frappait le ventre, elle avait l’impression, à ce moment-là, que l’eau rentrait en elle. Sa toison trempée collait à son ventre et laissait apparaître son sexe, elle en avait le reflet dans l’eau cristalline. Elle imagina un instant qu’un homme surgisse du fond de l’eau la pénètre doucement tout en se faisant porter par les vagues.

Elle jouait avec l’eau en balançant son ...

... ventre d’avant en arrière sans se douter un seul instant que l’on continuait à la regarder. Elle eut un frisson et sortit de l’eau pour s’enrouler d’un paréo et retourna au camp.

Plus tard, je révisais la voiture de Pierre qui était revenu, sans doute intéressé par les filles, même s’il déclarait être venu par hasard.

J’étais à moitié sous la voiture lorsque je sentis une présence, voulus sortir, mais une main m’en empêcha, l’autre main baissa mon short et saisit dans le creux sa main mon sexe pour le masser. Le massage fit rapidement effet, mais ce n’était sans doute pas suffisant, car une bouche prit mon sexe et une langue s’enroula autour.

Je voulus sortir, mais bloqué sous la voiture ce n’était pas possible et avec ma queue prise dans cet étau mes forces étaient bien faibles, je posai la question :

— Qui es-tu ?

Mais comme réponse j’eus droit à des dents sur mon gland comme si elles voulaient me l’arracher. Je compris la leçon et ne posai plus de questions, de toute façon la langue commençait à faire effet et mes reins se soulevaient, je lui dis d’arrêter, mais elle continua et je jouis à longues giclées dans la bouche. Je repris mes esprits et réalisai que j’étais seul !