1. L'orage


    Datte: 11/04/2018, Catégories: fh, fffh, nympho, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Jopat, Source: Revebebe

    ... avaient été sérieuses, sans doute la tension d’un sport nouveau. La journée s’achevait et la soirée était douce.
    
    Nous étions assis autour d’un feu de camp et faisions griller des brochettes en savourant ce soir d’été sous un ciel étoilé. Les filles riaient et elles avaient chaud devant les flammes du feu de bois.
    
    Alors que je jetai un coup d’œil en direction de la gitane, j’éprouvai un choc en constatant qu’elle était en train de se caresser. Je détournai le regard surpris. Puis je la regardai de nouveau. Ce que je voyais ne faisait aucun doute. Profitant de la demi-obscurité et des jeux d’ombres des flammes, elle avait glissé sa main droite sous sa jupe, relevée de ce côté, et comme ses bras étaient nus, on voyait les muscles de son avant-bras se contracter régulièrement. Son genou gauche était relevé et plié de manière à former un cache dérobant ses gestes aux yeux de ses copines, mais elle ne s’efforçait en aucune façon de me le cacher à moi : bien au contraire, elle me fixait du regard avec intensité.
    
    Rien de ce genre ne m’était jamais arrivé auparavant. Je trouvai la situation incroyablement excitante.
    
    Plus les filles discutaient, plus cela devenait érotique. La tête de la jeune femme se renversa progressivement en arrière, sa bouche s’ouvrit et ses yeux se troublèrent en me regardant. Ses jambes cherchèrent un appui au sol. Elle arriva au terme du plaisir grâce à ses mouvements discrets, il ne lui était plus possible de s’arrêter. Avec ma langue, je fis ...
    ... mine de lécher mon verre avec des mouvements rapides comme si je lui titillais le bouton d’Amour de son ventre. Elle jouit immédiatement et réprima un cri.
    
    Elle se mit debout et fit quelques pas mal assurés puis disparut dans l’obscurité. J’attendis quelques instants, me levai à mon tour et quittai le cercle du feu. Elle s’était appuyée contre un arbre, une jambe repliée. Elle m’avait entendu et me regardait avancer vers elle. Je posais mes mains sur son cou et l’embrassai sur sa tempe sans un mot. Mes mains descendirent le long de ses épaules, elle ne put réprimer un léger frisson. Ma main glissa le long de sa jupe pour remonter et glisser sur sa cuisse. Je posais la paume de ma main à plat sur sa culotte trempée de sa jouissance précédente. Son slip s’insinuait dans sa fente avec une précision anatomique, je voulus écarter le sous-vêtement. Mais elle m’en empêcha en s’agenouillant et fit glisser mon short sur mes chevilles.
    
    Ma virilité se dressa aussitôt, elle en mesura la grosseur avec ses doigts, la prit dans sa main et me décalotta pour me lécher de petits coups de langue, avant de l’enfourner dans sa bouche jusqu’à la base et commença un lent va-et-vient, ses mains me massant les boules. Après quelques minutes de ce traitement, je sentis la sève monter de mes reins, je voulus relever la tzigane, mais elle s’y refusa. De ses mains elle me masturba et me fit décharger sur l’arbre. La jeune femme me dit alors :
    
    — Tu as une belle queue, mais tu es trop pressé.
    
    Et ...
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