1. L'orage


    Datte: 11/04/2018, Catégories: fh, fffh, nympho, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Jopat, Source: Revebebe

    L’orage menaçait, de lourds nuages s’amoncelaient sur les cimes. Les bêtes sentaient l’électricité de l’air. Le berger et ses chiens avaient le plus grand mal pour faire quitter l’alpage en ordre aux moutons et les guider vers la bergerie. Je me dirigeais moi aussi vers mon refuge, un abri rustique, mais solide.
    
    J’étais nerveux bien que je connaisse cette partie de la montagne par cœur, le refuge était à une demi-heure de marche juste sur l’autre versant. Il faisait chaud et l’air était lourd, je marchais torse nu et j’étais nu aussi sous mon short.
    
    J’étais surtout inquiet, car je pensais à ce groupe de jeunes filles parties en randonnée ce matin sans équipement. Pourraient-elles trouver un abri ?
    
    J’étais à peine à l’abri que l’orage se déchaîna. Plus tard, devant un bon feu, alors que j’écoutais les roulements de l’orage j’entendis des cris. Sortant avec une torche je signalais le refuge, le vent et la pluie rabattaient la torche qui grésillait, mais le flambeau fut suffisant pour être vu du groupe d’où venaient les cris. C’était le groupe de jeunes filles de ce matin, elles avaient maintenant une piètre allure, trempées, crottées, épuisées par la tempête elles grelottaient. Je jetai aussitôt des bûches dans le foyer pour le relancer et de donner de la chaleur et leur servis un thé chaud dans lequel je versai un alcool pour les réchauffer.
    
    Avec tous ces soins, elles reprirent une figure plus humaine. L’une d’elles, la plus âgée m’expliqua qu’elles avaient été ...
    ... surprises par l’orage et que sans le signal, perdues, elles seraient mortes de froid et d’épuisement. J’étais à genoux pour alimenter le foyer lorsque je sentis sa vue se fixer vers le bas de mon corps, je suivis son regard et je vis mon sexe dépasser du bas de mon short par l’entrebâillement de mes cuisses. Il était légèrement raide, car deux jeunes femmes avaient ôté leurs tee-shirts et se séchaient mutuellement et, dans la demi-obscurité, leurs seins nus faisaient des ombres mouvantes sur les murs de crépis.
    
    Je me relevai, gêné, en disant que j’étais souvent nu l’été sous mes vêtements, elle me répondit qu’elle aussi dans la mesure du possible l’été elle ne mettait pas de sous-vêtements. Joignant le geste à la parole et, comme pour le prouver, elle retira son sweat pour le mettre à sécher et apparut nue avec des petits seins adorables et des pointes toutes raides.
    
    Était-elle troublée par la vue de mon sexe ou tout simplement avait-elle froid ?
    
    Ma queue fit un bond, mais gêné je fis demi-tour pour préparer un repas. Elle avait vu mon visage rougir, et ma queue « bondir ». (Quel beau membre ! avait-elle pensé) Elle était aussi gênée que lui, mais troublée aussi. (Le corps qui la porte n’est pas mal non plus. Et, en plus, il a de beaux yeux clairs qui, il me semble, changent de couleur selon ses émotions…). Décidément, elle était vraiment troublée…
    
    Préparant le repas, je pensais à la situation dans laquelle je me trouvais. Un homme seul au milieu de femmes et ...
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