L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... froides, et posai mes lèvres sur sa toison.

Elle eut un mouvement de recul, m’interdisant de la toucher. Dans ses yeux, je devinai qu’il y avait un reproche. Elle pensait certainement que je sautais sur tout ce qui bouge. Pas étonnant, avec toutes ces filles qui me faisaient les yeux doux. Elle me regarda avec envie, puis prit le chemin du refuge. Décidément, cette fille n’était pas comme les autres. Sur ma bouche sa toison y avait laissé un goût sucré, mais trop fugace pour en sentir tous les parfums, mais je me promis d’y retourner pour découvrir toutes les fragrances de son intimité.

Je terminai rapidement ma toilette sans me laver les dents, pour ne pas perdre ce petit goût sucré et redescendis vers le refuge. Plus bas, la tzigane redescendait comme un cabri, son poncho se soulevait et laissait apparaître la tache claire de ses fesses. Une vision d’un érotisme à damner un saint… que je n’étais pas.

Arrivé au chalet, les filles me demandèrent s’il était possible de rester trois ou quatre jours avec moi comme accompagnateur pour leur faire visiter la région. Après quelques instants de réflexion, je dis oui, si un ami pouvait monter les affaires des filles de l’auberge de jeunesse ainsi que du ravitaillement avec son 4x4. Je l’appelai par radio. Il sera là dans le début de l’après-midi.

Une des filles me sauta dans les bras, suite à mon message, et elle en profita pour appuyer son bassin sur mon ventre. Ras-le-bol de ces allumeuses. Je décidai de leur dire ...

... pour me venger :

— OK pour rester, mais si je dois sodomiser l’une d’entre vous tous les soirs, je préfère choisir.

Je les laissai là et allai préparer du matériel d’escalade pour initier les nanas. Quelque temps après, la tzigane et la fille qui m’avait massé l’entrecuisse la veille au soir, me trouvèrent, et s’excusèrent pour leur copine. Elle m’avait bien gagné au jeu, mais elle n’avait pas gagné le droit de se faire prendre par le cul. Je demandai qui était leur copine, les deux filles se regardèrent et finalement me dire que c’était Fatima, la fille noire de leur groupe. J’aurais dû me douter qu’avec une croupe pareille !

Les filles ajoutèrent que Fatima serait punie de la façon suivante :

— Tout d’abord, elle devra avoir les yeux bandés et les mains attachées. On la dévêtira et on l’installera à genoux sur une chaise, les mains sur le dossier. Elle devra attendre des heures et peut-être même une journée, le temps qu’il faudra au ravitaillement pour arriver. Nous expliquerons à votre ami qui amène le ravitaillement ce qui se passe. Espérons qu’il sera d’accord. Il devra lui faire croire qu’il la prend alors qu’en fait, il lui fourrera un objet quelconque dans son cul, mais sans préparation puisqu’elle adore ça ! Il devra se rendre le plus laid et sale possible, pour que, lorsque son bandeau tombera, elle soit dégoûtée à jamais. Enfin tout au moins pour un moment.
— D’accord, mais sans l’abîmer.

Les filles repartirent en courant, et des cris envahirent le ...