L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... chercha et trouva mes seins dans le noir. Elle en pinça doucement la pointe et en fit rouler doucement le bout de la paume de ses mains. J’étais maintenant complètement réveillé et bien raide aussi, mon inconnue le sentit et se soulevant fit glisser ma queue dans sa chatte sans que je fasse le moindre mouvement.

Elle bougeait son ventre, je voulus remonter mes mains sur ses seins, mais elle m’en empêcha. Son ventre me faisait très drôle, mais ma queue la remplissait complètement. Elle avait été surprise de sa taille, car en se faisant fourrer elle avait poussé un petit gémissement et elle était descendue doucement sur mon sexe. Maintenant, cela ne l’empêchait pas de remuer en me suçant les seins de la pointe de sa langue. À ce petit jeu, je ne pourrais tenir bien longtemps.

Elle le sentit, car elle se retira pour me laisser me calmer et me dit :

— Je t’ai gagné aux dés, nous avions toutes envie de toi.

Se relevant à nouveau, elle reprit ma queue de sa main et se la posa sur l’ouverture de ses reins. Elle écarta ses fesses et se laissa descendre, je sentis son cul s’ouvrir, elle avait préparé son geste, car la pénétration se fit sans problème. Son petit cul avait été crémé.

Elle continua à se laisser pénétrer je n’osai bouger de peur de lui faire mal. La sensation pour elle devait être bonne : contrôler sa propre sodomisation.

Pour moi, la sensation était irréelle, dans mes envies, jamais je ne l’aurais imaginée.

Elle se retira doucement lorsque j’eus ...

... joui et déchargé tout mon sperme dans son cul.

Elle disparut comme elle était venue. Qui était-ce ?

Je m’endormis et le chant des oiseaux me réveilla. Le soleil brillait, la journée s’annonçait radieuse. En faisant le lit, je trouvais des cheveux, ils n’étaient pas bruns. Sortant de la chambre, je trouvais les filles en groupe, papotant et riant, l’une d’elles devant raconter ses exploits de la nuit ; mais dirait-elle tout ? Je me promis de leur faire savoir. Je lui en voulus de m’avoir utilisé.

Les nanas avaient préparé le café, manquaient les croissants, mais, en montagne ?…

Je dis aux filles que j’allais faire ma toilette à la source située au-dessus du chalet à trois minutes afin de leur laisser le point d’eau du refuge.

L’eau était glacée, mais la chaleur déjà forte pour un début de matinée. L’orage avait disparu, les marmottes sifflaient pour signaler ma présence, mais curieuses, elles ressortaient, vite.

J’étais dans l’eau jusqu’aux genoux pour me rincer lorsque je vis ma tzigane. Cette fois-ci elle avait revêtu une espèce de poncho léger, mais moi j’étais à nouveau nu (normal, pour se laver). Je n’étais pas à mon avantage, l’eau glacée avait rendu mon sexe inexistant. Elle m’avait vu et cela la faisait sourire, elle se recula et se posa sur la roche brûlante. Sortant de l’eau, je m’approchai, elle avait repris la pose qu’elle avait eue devant la cheminée, laissant apparaître sa toison brune. Sans un mot je me baissais sans la toucher, mes mains étaient ...