L'orage
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
nympho,
vacances,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Jopat, Source: Revebebe
... rêves érotiques, il me restait à l’esprit des idées de caresses que j’avais rêvé avec la tzigane. Mais dans l’état où je me trouvai au réveil si la journée se passait sans que je puisse glisser ma grosse queue dans son ventre, n’importe laquelle de ses copines ferait l’affaire. La matinée passa rapidement, occupés à nos tâches. Pour ma part, je préparais du matériel destiné au rafting. La tzigane m’évitait, elle se tenait à distance ce qui ne m’empêchait pas de l’observer et d’essayer de deviner si elle aimerait les caresses que j’avais rêvées pour elle, ce qui ne soulageait pas mon sexe.
Une fille mit de la musique à partir de son laser portable, une musique douce, une compilation de slow. Deux filles dansaient entre elles quand la tzigane vint me prendre par la main juste avant que la noire ne vienne me chercher. La jeune femme dans mes bras s’abandonna et glissa sa tête contre mon épaule, la musique se fit plus langoureuse et ses seins que j’avais déjà admirés vinrent s’écraser sur ma poitrine et un ventre élastique se mit à danser contre le mien, ses mains se nouèrent dans mon dos et elle me serra de toutes ses forces, le pubis en avant, guettant l’éveil de mon désir qui se manifesta rapidement. Patiemment elle continua son entreprise de séduction en se frottant avec souplesse contre mon corps. Je l’écartai, n’en pouvant plus et l’emmenai vers la forêt.
Je commençai à l’embrasser, elle me rendit mon baiser et je voulus lui écarter son vêtement pour prendre ses ...
... seins dans ma bouche. Elle se recula, mais j’avisai ses bracelets en forme d’anneaux et je crochais ses bras sur des branches basses, ainsi elle était écartelée. Je tombai à genoux et commençai à embrasser son ventre qui n’était protégé par aucun sous-vêtement sous sa jupe. Elle voulut se refuser, mais ma bouche lui ouvrait déjà son ventre et glissait sur son intimité, elle fut brusquement trempée et se laissa aller sous ma langue quand un bruit très proche nous fit sursauter. Je tournai la tête pour voir… un chevreuil, qui était aussi surpris que nous. Je bougeai et l’animal s’enfuit. Je me relevai et libérai la jeune femme qui était comme moi prise d’un fou rire.
— Dommage, me dit-elle, car j’en avais envie, mais tu me glisseras ta langue une autre fois pour me chatouiller mon bouton.
Nous sortîmes de la forêt et elle me prit la main sans doute pour montrer à ses copines que j’étais chasse gardée. OK pour la chasse gardée, mais il ne faudrait pas trop de contretemps sinon le contrôle deviendrait difficile.
L’après-midi se passa au club de rafting, mais nous étions frigorifiés après avoir été trempés par l’eau glacée. Pour nous réchauffer, je fis chauffer un thé dans lequel j’ajoutai une bonne dose d’alcool. Avec la fatigue de la journée, nous étions tous un peu pompettes et comme nous avions eu vraiment froid, nous n’avons pas lésiné sur le grog. Nous étions dans un état un peu second, la tzigane était collée à moi, elle avait sans doute encore froid. Pour nous ...