L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... alors écarté les pétales de son ventre pour exposer son bouton d’amour que j’ai dardé du bout de la langue. Heureusement ses soupirs étaient couverts par ceux de sa voisine.

Je me suis léché deux doigts pour les enfoncer dans son ventre, son clito durcissait dans sous ma langue, j’ai enfoncé un troisième doigt et elle s’est mise à chevaucher ma main tandis qu’elle s’arc-boutait encore plus fort contre ma bouche avec une telle force que j’ai cru qu’elle allait tomber. Elle jouit dans ma bouche jusqu’à ce qu’elle retombe comme un ressort détendu. Je me relevai en la soutenant pour la pénétrer quand notre voisine s’envoya elle aussi l’air en criant son plaisir. Cela fît revenir sur terre ma compagne, elle rabaissa sa robe et me dit :

— Pas ici, plus tard au calme.

Et nous sortîmes doucement du bâtiment, avec une queue raide comme à l’habitude depuis quelque temps, mais j’avais la satisfaction d’avoir bu à une adorable fontaine d’amour.

Je voulus continuer à lui tenir la main, mais elle me dit qu’elle voulait se reposer seule et bronzer sur les rochers plats du bord de la rivière. Je la laissai aller et j’allai mettre au point le planning de la journée de demain.

La jeune femme s’allongea sur une serviette de plage, nue au soleil et seule dans ce petit coin de paradis avec juste le murmure de l’eau. Elle laissa son esprit dériver sous le soleil de l’été. La tzigane sous le soleil avait chaud et inconsciemment la chaleur lui donna dans son rêve l’envie de faire ...

... l’amour.

Elle rêvait à cette belle queue qu’elle avait déjà prise en main pour en sentir la grosseur, sa main en faisait tout juste le tour, le creux de sa main en avait encore la chaleur. Qu’elle était idiote de ne pas l’avoir mise dans son ventre, sa petite chatte ne demandait que cela, la sentir la prendre doucement et bien profond. C’était décidé, la prochaine fois serait la bonne sinon cette belle queue risquait d’aller voir si les chattes des copines étaient aussi accueillantes et, à voir les airs des copines, cela ne tarderait pas.

Son rêve prenait corps, elle avait l’impression de sentir une bouche sur son ventre, une langue lui ouvrir son sillon, comme c’était doux et chaud. Dans son rêve éveillé, elle dit « prends-moi ». Elle leva ses reins comme pour se faire prendre et ses jambes rencontrèrent quelque chose ce qui acheva de la réveiller tout à fait. Elle leva la tête et s’aperçut que c’était une fille qui venait de la caresser si intimement, une des filles du groupe !

La fille lui dit que c’était trop tentant, qu’elle aimait prodiguer ses caresses aux filles et apparemment elle avait aimé se faire sucer par une fille. La tzigane lui répondit :

— Ah oui ! Eh bien moi, ça ne m’est jamais arrivé et je n’en ai pas envie !

Elle se recula, se leva et prit le chemin du retour. Elle aurait cent fois préféré un homme à la place de cette fille ! En chemin, beaucoup plus loin, elle entendit comme une cascade, elle s’approcha vers le bruit que faisait l’eau et là ...