L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... réchauffer, je décidai de rentrer dans le bâtiment du club de raft avec peut-être une arrière-pensée pour la jeune femme collée à moi. La porte du bâtiment poussée, j’arrêtai la tzigane car un bruit troublant provenait de la pièce voisine. Nous nous approchâmes doucement pour apercevoir une de nos copines en train de flirter avec le mono de raft. Et à la voir, elle n’avait pas froid. Le mono, lui, essayait de la repousser, mais autant vouloir décoller une ventouse, lorsqu’une sonnerie retentit, nous faisant sursauter, le mono attrapa son portable et articula à notre copine que c’était sa nana.

Cela n’arrêta pas les élans amoureux de notre amie, au contraire ! Pendant que le mono écoutait la conversation téléphonique, elle lui avait baissé son short et elle lui suçait la queue, contente d’elle, sûrement. Lui n’avait vraiment plus la tête à la conversation, il essayait toutefois de se défendre, mais la volonté n’y était plus. Lorsqu’elle se releva pour se coller à lui et lui prendre la main pour la mettre sous son maillot de bain directement sur sa chatte trempée, elle lui guida son doigt sur son sillon entre ses lèvres tandis que de l’autre main elle se caressait les seins. Brusquement, elle s’écarta de lui pour baisser son maillot de bain et mettre ainsi son ventre à nu. Lui était toujours au téléphone, la situation lui plaisait et l’excitait. La fille se mit à se branler la nénette en passant ses doigts sur ses lèvres ainsi que sur son bouton et…

Je passai et ...

... glissai les mains sur les hanches et les fesses de ma compagne et je m’aperçus que je ne sentais pas l’élastique du slip, car, fidèle à son habitude, elle n’avait pas mis de culotte. Cela la fit frémir lorsqu’elle se rendit compte que je m’en étais rendu compte, et de suite je remontai sa robe d’été sur ses hanches pour mettre son joli cul à nu, mes mains parcourant son ventre et ses fesses, mes doigts descendant le long de son sillon pour doucement écarter les lèvres qui ne demandaient qu’à s’épanouir.

Pendant ce temps, la fille de la pièce voisine se faisait pistonner par la belle queue du mono, il l’avait portée et assise sur le bureau, et là, comme il la fourrait à grands coups, la fille ne porterait certainement pas plainte pour viol !

Mon amie avait appuyé ses mains contre le mur pour mieux cambrer ses reins et ainsi s’offrir à la caresse de mes mains, mais cela ne lui suffisait plus, car de voir son amie se faire mettre à quelques pas d’elle lui donnait envie d’aller plus loin et pour me le faire comprendre elle écarta un peu plus ses cuisses. Je me mis à genoux derrière elle en glissant ma langue le long du sillon de ses fesses pour atteindre sa chatte pour la première véritable fois. Je me suis installé entre ses cuisses pour lui effleurer sa fente. Reculant son cul, elle a pressé ma tête contre sa nénette et je me suis mis à lui fouiller la chatte avec ardeur. Sa liqueur d’amour me coulait dans la gorge avec la douceur du miel. Je devinai qu’elle était prête, j’ai ...