L'orage
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
nympho,
vacances,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Jopat, Source: Revebebe
... laissaient échapper de superbes points de vue sur la vallée. Mais surtout ce sentier était ombragé et il nous permettrait de remonter sans grosses chaleurs au refuge.
Nous avions marché deux bonnes heures lorsque le besoin se fît sentir de prendre un peu de repos avant d’attaquer le col qui menait directement au refuge. Nous nous allongeâmes sur de la mousse et de l’herbe tendre au milieu d’une clairière qui donnait sur un vallon situé en contrebas. Nous nous étions assoupis avec la délicieuse impression d’être seuls au monde avec juste le crissement des insectes et de temps à autre, le cri lointain d’un rapace.
Une des filles vint nous réveiller en nous faisant signe de nous taire et de la suivre à quatre pattes. Intrigués, nous la suivîmes jusqu’au bord du surplomb du vallon, et là, surprise ! un couple était en train de faire l’amour. Eux aussi étaient seuls au monde, et de la façon où nous étions placés ils pouvaient difficilement nous voir.
La fille était nue, debout, appuyée contre un arbre et l’homme torse nu avec un jean, était à genoux, la bouche posée contre le ventre de sa compagne. Celle-ci lui tenait la tête avec ses mains et pressait ainsi son amant contre sa féminité. Nous étions trop loin pour voir leurs visages, mais les gestes de leurs corps nous étaient visibles. La fille glissa à terre elle leva son bassin pour l’offrir à la bouche de son amant. Ils respiraient la sensualité et cela me donna des envies, je glissai ma main sous la légère tunique ...
... de la tzigane, qui s’était allongée à mes côtés, pour capturer au creux de ma main un sein qui réagit immédiatement à la caresse par une pointe qui durcit sous ma paume. La jeune femme se prêtait à tout, en regardant la scène plus bas. Je sentis une main sur mon entrejambe, mais ce n’était pas la tzigane, c’était la rousse qui profitait elle aussi du spectacle.
Semblant être surprise par le geste de la rousse, la tzigane se releva d’un seul coup et se mit à courir à toutes jambes. Je remis en place la main de la rousse abasourdie et me levai à mon tour. Cette fois, c’en était trop, je me retrouvai encore le sexe plus gros que jamais ! Je jurai de me débarrasser de ces pots de colle au plus vite. J’en avais ras la casquette de me retrouver sans arrêt dans des positions que je n’arrivais même pas à contrôler. Il fallait que je mette de l’ordre dans mes idées et savoir où j’en étais. Une fois rentrés, je décidai donc de m’isoler en prétextant un mal quelconque et en interdisant quiconque de faire irruption pour quelque raison que ce soit.
Je laissais les filles préparer le repas du soir, elles râlaient, car la remontée au refuge s’était faite de façon très rapide, elles avaient dû trottiner pour suivre mon pas, et maintenant ces demoiselles étaient fatiguées.
Le repas pris, je me réfugiai dans la chambre et les filles se couchèrent aussitôt et moi je bloquai la porte de la chambre pour pouvoir dormir en paix. La nuit fut calme bien que j’eus le sommeil troublé par des ...