L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... rafraîchir et lorsqu’elle revint, elle me glissa quelque chose de doux dans ma main, je ne pouvais pas voir facilement ce qu’elle m’avait donné, serré comme nous l’étions, au cours d’une éclaircie, je pus regarder : c’était son slip !

Il est vrai qu’elle m’avait dit que les sous-vêtements la gênaient. Mais que faire maintenant de sa petite culotte? Je la glissai donc sous ma chemise, contre ma poitrine et je m’approchai d’elle.

Un mouvement de la foule me colla à elle, j’y restais plaqué contre son dos, elle ne chercha pas non plus à s’échapper, au contraire elle creusa les reins pour mieux s’incruster sur mon ventre, la foule permettait son geste. Elle releva la tête pour la glisser contre mon épaule, son premier geste d’abandon envers moi, je n’osais bouger de peur de rompre le charme, mais une bousculade s’en chargea et je rattrapai la jeune femme aux hanches. Mes mains, plaquées de part et d’autre de son corps, sentaient les courbes de ses reins. Peu à peu, mes mains s’enhardirent et glissèrent le long de ses fesses et se mirent à les masser. Cela lui plaisait, car elle incrusta un peu plus ses fesses contre mon ventre ; nul ne pouvait deviner ce qui se passait, tassés comme nous étions.

Ma main glissa le long de l’élastique de sa jupe et descendit sur sa toison en l’effleurant. De là, ma main fit un cercle complet sur ses fesses fermes et rondes, mais je revins sur son ventre et descendit le long de son sillon pour le trouver trempé. Elle écarta légèrement ...

... ses jambes pour que je puisse mieux l’ouvrir de mes doigts. Ils restèrent quelques instants sur ses lèvres pour en sentir le moment magique quand l’homme pose pour la première fois sa main sur l’intimité de sa compagne. Mes doigts se mirent à masser sur sa chatte et roulèrent sur son bouton. Elle me regarda fixement, très droite, un sourire ambigu aux lèvres. Soudain, ses yeux prirent une expression différente, trouble. Elle colla sa bouche contre mon oreille, comme pour me confier un secret et me dit :

— J’aimerais que vous me fassiez jouir.

Mais au même moment un homme, qui devait être un guide vu son accoutrement, annonça à la salle une visite dans une autre pièce et tout le monde se bouscula pour pouvoir rentrer, tant et si bien que nous nous retrouvâmes séparés en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Une fois de plus, je me sentis frustré, surtout que la tzigane en se retournant me fit signe que ce serait pour la prochaine fois avec un air que je commençais à bien connaître.

Les salles suivantes furent sans intérêt, surtout que l’occasion ne se représenta pas de flirter, et la visite se termina avec soulagement, j’avais hâte de remonter dans la montagne.

Le soleil était toujours aussi fort, l’orage des jours précédent était à mille lieues de cette journée. Cet orage qui m’avait amené de bien jolies compagnes et des érections à n’en plus finir. Nous repartîmes vers les cimes, mais par un autre chemin qui serpentait dans les bois avec des trouées qui ...