1. Un amour... de maison


    Datte: 07/05/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... ce qui passait à la télé, il s’endormit sur le Récamier.
    
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    Ramenez le drap sur vos yeuxEntrez dans le rêveAllumez l’écran merveilleuxQuand le jour s’achève…
    
    (Gérard Manset)
    
    Allongé à la va-comme-je-te-pousse (un Récamier n’est pas le top du confort pour dormir), il passa un excellent moment. Il plongea dans un rêve d’une rare intensité érotique. Il reçut la visite d’une créature céleste, maîtresse improbable, venue du fond des temps qui l’amenamanu militari au septième ciel.
    
    Moment magique où elle entra dans son rêve et en alluma l’écran merveilleux. Plus prosaïquement, elle lui apparut dans un déshabillé à la coupe désuète qui ne dissimulait pas grand-chose de ses charmes. Pas très grande, elle était dotée de formes avantageuses : un corps potelé, de beaux seins lourds, très lourds aux tétons arrogants, un petit ventre rond surmontant un tablier de sapeur (à qui on ne pouvait faire aucun reproche) comme on n’en voyait plus aujourd’hui. Et des petits petons tout blancs…
    
    Une coiffure étrange, très bouffante disciplinée par une espèce de diadème kitch encadrait un visage remarquable par les deux petites fossettes qui y apparurent lorsqu’elle lui sourit. Un sourire coquin.
    
    Quelle femme ! Pas de première jeunesse, mais quelle classe ! Rien de comparable à ce qu’il connaissait ! Elle lui rappelait ces photographies « osées » qu’il avait trouvées en rangeant les affaires de son grand-père. Une dame du temps jadis, comme aurait dit papi Georges. Elle ...
    ... avait un évident air de famille avec madame la marquise mais avec « un-je-ne-sais-quoi » de différent.
    
    Elle ne lui laissa guère le temps de la contempler. Elle s’attaquait avec une adresse consommée à son jean ! Et en moins de temps qu’il faut à un politicien pour tourner sa veste, il se retrouva flamberge au vent. Il imagina l’entendre crier « Montjoie Saint Denis ! » avant qu’elle ne lui avale la bite. Elle le pompa vigoureusement, amenant très vite son phallus à une dilatation maximum. Lorsque ce but fut atteint, elle l’enfourcha sans autre forme de procès et sans ôter son déshabillé. Elle déclama avant de le pistonner furieusement :
    
    À nous hussards de la raie publique,BraquemardsAu garde-à-vous, fendez,Pourfendez la cramouille en vert,Et que fièrement jusqu’au cielMontent vos juteuses liqueurs.En avant !
    
    Pour un rêve dingue, c’était un rêve dingue ! Mais le vagin qui coulissait férocement sur sa bite semblait très réel. Mâle menée comme elle l’était, elle ne résista guère et ses « juteuses liqueurs » si elles ne montèrent pas jusqu’au ciel se déversèrent abondamment dans lacramouille de sa pistonneuse. Celle-ci dut jouir quelques secondes après lui car elle interrompit brusquement sa chevauchée, son vagin se contractant spasmodiquement autour de sa tige.
    
    — Pour un premier galop, j’ai déjà connu pire monture, soupira-t-elle en se défichant, mais il y a si longtemps que je n’ai pas monté…
    
    La subite disparition de son égérie le réveilla. Encore brumeux, il ...
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