Un amour... de maison
Datte: 07/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
poils,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... Vous êtes attendu dans la salle à manger…
**********
Quelques semaines plus tard…
— Tu galèjes, Maxime ! s’exclama Albert en levant les bras au ciel.
— J’en ai l’air ?
— Ben non, justement ! Mais t’es complètement frappé !
— Je ne vois pas en quoi.
— Sérieusement, tu veux vraiment l’acheter ?
— C’est ce que je m’évertue à te dire.
— T’es complètement frappé !
— Tu te répètes.
— Je peux te trouver quelque chose de plus récent, plus moderne.
— Je veux CETTE maison !
Il voulait cette maison et pas une autre ! Il voulait Sidonie, Sidonie et Sidonie. Comment expliquer à ce cher Georges si cartésien sans passer pour fou qu’il était éperdument amoureux d’un fantôme qui, au gré de sa fantaisie, oscillait entre 18 et 80 ans, l’emmenait chaque nuit dans des voyages plus fantastico-érotiques les uns que les autres ? Il ne pouvait vivre dans l’épouvante que la marquise Adrénaline refuse de renouveler son bail.
— Tu m’écoutes, Maxime ? reprit Albert. Elle n’est même pas à vendre ! Et ça m’étonnerait que ta proprio veuille vendre.
— J’en suis moins sûr que toi. J’ai comme une intuition.
— Tu t’es pas fait cette rombière, quand même ?
Si, il se l’était « faite » quand il avait compris que c’était le seul moyen pour acquérir la maison. Sidonie avait tenté d’intervenir dans ses rêves, mais elle n’avait pas réussi à convaincre la « ...
... rombière » comme l’appelait Albert. Par contre, elle s’était rendu compte qu’Adrénaline en pinçait pour Maxime, et c’est elle qui l’avait incité à « débaucher » son arrière-arrière-petite-fille. Il n’eut pas de mal à la mettre dans son lit, ni à lui faire l’amour. La ressemblance avec son aïeule et l’étrangeté de la situation lui avaient apporté un plaisir qu’il n’attendait pas. Mais comparée à son arrière-arrière-grand-mère, elle était une novice dans l’art de la joute amoureuse et il savait que son désir s’émousserait vite. D’où son empressement à conclure cette vente.
— Allô, Houston, vous m’entendez ? Ces paroles énoncées d’une voix musclée ramenèrent Maxime à la réalité de l’instant.
— Désolé, mon ami (voilà qu’il se mettait à parler comme elle). Tu disais ?
— Je disais que t’avais quand même pas couché avec ta marquise…
Maxime se bidonna intérieurement :« Si, avec les deux, camarade. »
Ironisant, il répondit :
— Non, elle est beaucoup trop jeune pour moi mais je crois qu’elle a besoin de fric. Si tu lui en offres un bon prix…
— Ouais… et quand ton caprice sera fini, tu auras du mal à la revendre, ou alors à perte !
— Je ne la revendrai pas ! Et là, tu commences à me les courir ! T’es agent immobilier ou quoi ?
— Je suis aussi ton ami.
— Alors est-ce que l’ami peut comprendre que je suis tombé am… raide dingue de cette baraque ?