Un amour... de maison
Datte: 07/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
poils,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... regarda autour de lui : personne, bien évidemment. En tout cas, son membre luisant de sperme ne laissait aucun doute sur le fait que ce rêve l’avait conduit à la jouissance. À son âge ! Jouir d’un rêve ! Des lustres que ceci ne lui était pas arrivé. Il avait dû se masturber car il avait sorti sa queue de son fut’. Il allait devoir se trouver une nana rapidement, il était grave en manque.
Il se rendit dans la chambre pour finir sa nuit plus confortablement. Il tiqua un peu devant son lit impeccablement fait. Sans plus. Vanné, vidé, il ne releva pas. Malgré sa fatigue, il eut du mal à s’endormir. Il revivait cette scène improbable. Il se demanda où il avait été chercher tout ça, peut-être l’ambiance vieillotte de la maison mais surtout la tension érotique qu’il avait ressentie en présence de sa logeuse. Il finit par s’endormir d’un sommeil lourd. Au réveil, son rêve était toujours aussi présent. Il lui semblait que sa « pistonneuse » l’avait à nouveau visité. Debout devant son lit, sans aucun voile pour couvrir sa nudité, elle l’avait toisé.
— Votre Priape évoque plus la tour de Pise que l’obélisque que ces foutres de royalistes ont dressé sur la place de la Concorde.
Elle lui caressa, tendrement le visage avant de laisser courir sa main de sa poitrine à sa bite qui avait retrouvé une forme optimum.
— Pour le moins, vous ne semblez pas être équipé comme feu mon époux d’un Lebel ! commenta-t-elle en s’emparant de son membre turgescent. (Un pénis est turgescent ...
... comme un professeur est éminent !) Et puis vous me rappelez tellement Amadeo, mon coiffeur !
Il ne se souvenait plus de l’après mais, au matin, ses draps s’en souvenaient. Pas que ses draps ! Les seins lourds de son égérie nocturne se balançaient encore devant ses yeux alors qu’il trempait son biscu… sa tartine dans son café au lait. Deux fois dans la même nuit, ça devenait inquiétant.
L’appel de Sabine le ramena à la réalité. Il le surprit mais il l’accueillit avec beaucoup de plaisir. Dans la compagnie, le téléphone arabe n’avait pas besoin du haut débit : une semaine après que Mylène l’ait viré, elle réapparaissait fort opportunément pour lui proposer de venir tenir compagnie « au pauvre célibataire en détresse qu’il était ». Elle pourrait lui préparer une petite dînette sympa.
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Sabine, cette greluche, n’avait rien d’un canon mais il se dégageait d’elle une telle sensualité que n’importe quel mâle opérationnel ne pouvait que craquer. Lorsqu’elle rejoignit leur team, il couchait avec Marcia, la pilote en second. Mariée comme lui, leur relation, purement hygiénique, satisfaisait leur libido lors des trop longues escales. De bonnes baises pépères leur évitaient les nuits solitaires dans les hôtels impersonnels qu’ils fréquentaient à longueur d’année. L’arrivée de Sabine bouleversa ces adultères paisibles et sans conséquences. Quand il la vit, Maxime, peu charitable, se dit« Putain, c’est quoi ce thon ? » Pas très grande, on aurait même pu dire petite, des ...