Un amour... de maison
Datte: 07/05/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
poils,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... chose, il se sentait comme un ours (de mauvaise humeur) en cage. Il visita à nouveau les sites de toutes les agences référencées. En vain ! Sa seule piste, un F3 qui se libérait à la fin du mois… Presque trois semaines à attendre. Mais il n’avait pas le choix. Il contacterait l’agence le lendemain matin. Alors qu’il allait se déconnecter, il eut un flash : Leboncoin.
Pourquoi n’y avait-il pensé plus tôt ! Les agences n’avaient rien à lui proposer mais les particuliers, qui sait. Il fallait tenter le coup. Albert avait raison ! Même sur Leboncoin… Il trouva plusieurs F5 et même une maison. Qu’aurait-il fait d’un F5 avec sa solitude et ses deux valises ! Sans parler des loyers, exorbitants ! La loi de l’offre et de la demande. La maison avait un air vieillot sympa avec un petit côté gentilhommière avec parc. N’ayant rien trouvé et par curiosité, attiré par les photos, il lut l’annonce. Les yeux lui sortirent de la tête ! Il devait y avoir un lézard quelque part. Le loyer demandé correspondait à la marge basse qu’il s’était fixée ! Il avait dû mal lire.
Sans réfléchir, il fit le numéro d’Albert ! Si quelqu’un pouvait le renseigner, c’était bien lui. Ce fut le cas : il connaissait bien la maison. Il avait essayé d’en avoir la gestion car elle avait un fort potentiel très mal exploité s’il en jugeait au passage fréquent de l’annonce. Mais la proprio (eh oui, c’était une dame) l’avait jeté. Il était hors de question qu’elle confie ses intérêts à un quelconque « marchand du ...
... temple ». Et Albert d’expliquer à son ami que cette maison située un peu à l’écart de la ville dans un hameau où vivait la nouvelle bourgeoisie au début du XXème siècle était sur le marché depuis des décennies. Elle avait été construite pour une riche veuve, la marquise de Saint quelque chose morte quelques années après la fin de la première guerre mondiale. L’actuelle propriétaire était l’arrière-petite-fille de la susdite marquise. Albert expliquait la modestie du loyer par la méconnaissance du marché par la logeuse.
Malgré l’heure tardive, il décida de tenter sa chance. Bien lui en prit, madame la marquise (car elle l’était aussi) n’avait pas encore gagné sa chambre. D’une voix jeune bien qu’hautaine, il lui fut signifié qu’elle l’attendrait le lendemain matin à 10 heures précises et que, s’ils faisaient affaire, elle lui ferait visiter la maison. Elle lui avait parlé comme à un valet mais il avait senti un certain empressement à le recevoir. Madame la marquise aurait-elle besoin de picaillons ?
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Le lendemain, à 10 heures tapantes, Maxime se présenta devant la maison qu’il convoitait. Le portail étant ouvert, il emprunta l’allée et se gara devant la porte d’entrée. Il chercha en vain une sonnette. C’eut été trop « peuple » ! À la place, un heurtoir en bronze ouvragé. Deux coups et la porte s’ouvrit. On devait l’attendre.
La communication téléphonique qu’il avait eue la veille évoquait une femme jeune. Que nenni ! Madame la marquise avait dépassé la ...