Le temps suspendu
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
ff,
jeunes,
couleurs,
poilu(e)s,
amour,
miroir,
odeurs,
Masturbation
massage,
Oral
init,
exercice,
confession,
Auteur: Coqueluche, Source: Revebebe
... l’écrase sous mon poids. Et elle, me picore le visage à coups de baisers, tantôt légers, tantôt gloutons. On dirait une abeille ouvrière excitée par un parfum de pollen. Elle butine mes lèvres, aspire ma langue, emmielle mon menton de sa salive. Et son ventre, se frotte allègrement contre ma cuisse… Elle respire plus vite, c’est bon signe. Ses bras encerclent mon cou et me plaquent contre elle. Je peux à peine me mouvoir !
— Qu’est-ce que je fais dans ton rêve… ?
— Tu m’aimes ! souffle-t-elle.
Ça m’aide vachement ! L’azur brouillé de ses yeux, sa bouche entrouverte, ses lèvres rougies par les baisers… son visage est l’effigie du désir. Son ventre remue avec entrain contre moi, elle n’est qu’appel !
— Je t’aime Axel… si tu savais… viens… fais-moi l’amour !
— Nue à nue ?
— Oui, toute nue…
Je n’ai pas eu trop de mal à la débarrasser de sa robe. Elle tremble, pourtant. Mais cette fois, il me semble que toutes ses défenses ont cédé. Elle est abandonnée, bras ballants, immobiles de chaque côté de son corps. Celui-ci éclate dans sa blancheur laiteuse… son ventre étale est pareil à une plage de sable immaculé. L’estuaire profond où se tient le sexe couvert sous la sage culotte blanche se prolonge du double fleuve des jambes interminables sculptées dans l’ivoire. La rondeur de sa poitrine pâle gonfle généreusement le soutien-gorge blanc. J’ai sous les yeux, l’éloge de la blancheur pure. Je me suis prosternée pour baiser ce ventre lisse et chaud tandis que mes doigts ...
... glissent vers sa chatte offerte. Elle ronronne – Cassandre, pas la chatte, voyons ! – Mes lèvres remontent, parcourent la tendre courbe de sa poitrine. Elle soupire, et me dit« Plus fort ! ». J’obéis. Je tire sur le soutien-gorge pour révéler une aréole d’un rose pâle, bombée, un peu semblable à l’arrondi d’une coquille d’œuf. Au sommet, le mamelon est dressé, une petite tour ridée rouge tendre. Je la happe. Comme moi, Cassandre sursaute. Je l’aspire, je la tète, je la lèche.« C’est bon, Axel, si tu savais comme c’est bon ! ». Ça veut dire qu’on est vraiment en bonne voie…
Le fameux continent du plaisir, cette fois, on l’explore pour de bon. Lentement, certes, maladroitement, sans doute, mais c’est si exaltant. Chaque petit pas accompli sur ce territoire inconnu, est une grande conquête pour notre humanité !
Ses cuisses se sont gentiment écartées quand ma main s’est posée sur le promontoire du mont de Vénus. Elle a soupiré quand j’ai empaumé son sexe. Le coton de sa culotte est imbibé de désir. Je sens la moiteur sous mes doigts, une chaleur humide, poisseuse. Je la caresse comme j’ai l’habitude de le faire sur mon propre sexe : je roule mon index avec une douce vigueur sur le clitoris.
— Oh ! C’est si bon Axel ! Continue, je t’en prie, plus fort… caresse-moi… embrasse-moi… suce-moi… aime-moi…
J’ai compris, ça va ! Inutile de multiplier les requêtes, je n’ai pas encore le don d’ubiquité ! Malgré tout, je m’exécute, oublieuse de mes propres désirs. Les élancements qui ...