1. Le temps suspendu


    Datte: 19/01/2020, Catégories: ff, jeunes, couleurs, poilu(e)s, amour, miroir, odeurs, Masturbation massage, Oral init, exercice, confession, Auteur: Coqueluche, Source: Revebebe

    ... feignant de mâchonner les fils d’or. Tu es ma Parque particulière : il ne faudrait pas qu’un seul de ces cheveux précieux soit coupé… ce sont les fils de ma destinée…
    — Qu’est-ce que tu me racontes avec ton parc ?… Tu délires, ou quoi ?
    — T’inquiète, c’est rien que des conneries…
    
    Je la tiens prisonnière contre moi. Sa main s’est mise à vagabonder rêveusement sur mon corps. Ça s’est fait imperceptiblement. Son index a suivi la ligne de mon cou, escaladé ma pomme d’Adam, poursuivi son chemin entre mes seins. Elle est arrivée jusqu’à mon nombril, mais là, son genou qui barre mon ventre l’a empêchée d’aller plus bas. Elle est remontée par mes flancs. Et, très timidement, son index et son majeur ont gravi, façon alpiniste, la modeste rondeur de mon sein jusqu’à son sommet. Le mamelon ému pointe dru à travers le tissu diaphane du soutien-gorge. J’ai soupiré de plaisir.
    
    — Tu aimes ?
    — Continue !
    
    Elle empaume la rondeur du sein, ses doigts se referment dessus, le palpent, en apprécient la fermeté. On dirait qu’elle est un chaton qui joue avec une pelote de laine. Mais quand elle pince le mamelon entre le pouce et l’index, je reçois une décharge qui me fait sursauter.
    
    — Aïe ! s’inquiète-t-elle. Je t’ai fait mal ?
    — Non… C’est que je suis très sensible…
    
    Elle enfouit sa tête dans mon cou et s’excuse :
    
    — Pardon Axel, je… suis pas très adroite ! Je sais pas m’y prendre…
    — Mais si ! Au contraire ! Je voulais dire que tu me fais de l’effet ! Pas que tu m’as fait mal… ...
    ... Est-ce que…
    
    Je n’ose pas aller au bout de ma question.
    
    — Est-ce que quoi ? s’enquiert-elle.
    — Est-ce que ça correspond à ton rêve ?
    — Un peu…
    — C’est moins bien ?
    — Non… c’est que… tu étais plus… active !… c’est toi qui… menais le jeu.
    
    Ses hésitations, sa prudence, son air contrit, tout me ramène, soudain, à l’évidence. Quelle conne, je fais ! Cassandre et son mal-être, son dilemme, ses scrupules, son innocence… Comment ai-je oublié qu’elle devaitô combien ! prendre sur elle pour accepter le fait que nous couchions ensemble ? Elle a raison !
    
    En même temps, je suis aussi novice qu’elle ! Je ne sais pas trop par quel bout prendre le problème ! En fait, on a l’air de deux cruches !
    
    — C’est vrai ! dis-je. C’est à moi de mener le jeu…
    
    Alors, je l’ai serrée contre moi et mes mains ont entamé une prudente croisade sur la rotondité, non de la terre, mais de ses fesses ! Je sais que c’est risqué… J’ai peur d’un soulèvement, d’une émeute protestataire.
    
    Mais non ! Je n’ai droit qu’à une sorte de soupir satisfait. Comme si elle n’attendait que cela. Et, comme tout conquérant qui se respecte, je plante le drapeau de mes doigts sur cette terre toute neuve, encore enveloppée sous le tissu de sa robe. Par Allah ! C’est inouï de pétrir cette contrée vierge, tendre, sauvage. Ne rue pas, jolie croupe ! Laisse-toi caresser ! Que tu es ferme ! Et si joliment rebondie !
    
    Je la bascule sur le dos. Ma jambe se coince entre ses cuisses. Elle s’abandonne sans protester. Je ...
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