1. Le temps suspendu


    Datte: 19/01/2020, Catégories: ff, jeunes, couleurs, poilu(e)s, amour, miroir, odeurs, Masturbation massage, Oral init, exercice, confession, Auteur: Coqueluche, Source: Revebebe

    ... déchirent mon ventre, la dureté de mes seins douloureux d’appels ignorés, tout m’est égal si je peux lui donner le plaisir qui fait crier. Je me faufile sous l’élastique de la culotte. À l’aveugle, mes doigts traversent un herbage épais, une toison sauvage, presque incongrue et parviennent enfin à l’acmé (!) de toutes mes tentations. Sous mes doigts se dessine le relief intime, si nu, si extravagant des lèvres de son sexe. Qu’est-ce que ce labyrinthe de chair débordante ? Superfétatoire ! Surnuméraire ! C’est tellement inattendu ! Je croyais trouver les bords lisses et humides d’une fente béante… mais c’est une excroissance moelleuse de chair en désordre, une exubérance dermique, que j’explore à l’aveugle. Je veux en avoir le cœur net !
    
    Je me redresse et m’agenouille à son flanc, saisis les rebords de sa culotte et tire vivement dessus pour faire glisser cet ultime rempart de sa pudeur sur ses cuisses en pagaille. Elle n’a pas eu le temps de résister ni de protester. Mais instinctivement, elle s’est refermée et sa main est venue se placer sur son bas-ventre pour me dissimuler son sexe. J’ai juste entrevu une dense broussaille de poils blonds ébouriffés qui ont colonisé une large bande de peau autour du mont de Vénus. Elle tond peut-être la pelouse paternelle (là, je vais un peu loin !) mais elle a négligé la sienne depuis un sacré bout de temps !
    
    — Oh ! Non, Axel… Fallait pas faire ça… geint-elle. J’ai trop honte !
    
    Et très curieusement, elle place son bras libre ...
    ... sur son visage, comme si elle voulait ainsi masquer sa honte, ou m’empêcher de la lire dans ses yeux. Comme si la pudeur concernait aussi son regard.
    
    — Il ne faut pas que tu voies ça… je t’en prie ! rajoute-t-elle.
    
    Voir quoi ? Leça freudien – que nous avons aussi travaillé en philo – ou leça de son minou ? En tout cas,ça me scotche, sa réaction. Je me méfiais de ses préventions morales mais sûrement pas de ses réticences à me montrer son corps. Vous ai-je assez dit qu’il était « canon » ? Je décide donc, comme elle, de faire la cigale :
    
    — Tssst… Tssst… Tssst… Comment veux-tu que je te caresse si tu me caches ton trésor ? Nue à nue, toutes les deux, c’est biença dont tu rêvais, non ? Eh bien on y est !
    
    Je lui fais voix de velours, genre compatissante, parce que je perçois sa panique. Il ne s’agit pas de la braquer ! Mais je suis intriguée… Ma main s’est saisie de son poignet et j’ai tiré pour tenter d’ôter ses doigts de la zone protégée. Elle résiste, me supplie. J’insiste. Finalement, elle cède.
    
    — Mon dieu ! murmure-t-elle toujours cachée derrière son bras. Tu vas être dégoûtée !
    
    Quelle réaction !… Mais aussi, quel spectacle ! J’ai forcé un peu pour qu’elle descelle ses cuisses et là, j’ai découvert un drôle de paysage. Son sexe est étrangement meublé : le renflement des grandes lèvres roses est ébranlé par le soulèvement d’une dorsale qui surgit de la fente de la vulve en un chaos de chair invraisemblable. On dirait que des caroncules de dindon lui ont été ...
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