Une éducation particulière (4) - Histoires de Sexe

Une éducation particulière (4)

... garçon contemplait de biais la naissance de celui de gauche et découvrit un grain de beauté qui d’ordinaire avait sa place contre le soutien-gorge.

— Et celle-là ? Qu’est-ce que t’en penses ? C’est pas too much ?

— Euh... ben...

— Merci pour ce commentaire pertinent, Clément, dit-elle dans un sourire radieux. Bon, allez, après tout, il faut bien changer ses habitudes de temps en temps. On va la prendre aussi.

Raphaëlle et Clément se dirigeaient maintenant vers la caisse mais la géographie mercantile de la boutique les obligea à traverser un grand nombre de rayons et ils se retrouvèrent bientôt au milieu de la lingerie. Clément percevait une légèreté inhabituelle chez sa mère, il lui semblait qu’elle sautillait presque. Tout d’un coup, et à sa grande stupeur, elle s’arrêta devant le body en dentelle noire qui avait attiré son attention un peu plus tôt.

— Alors ? C’est ça que tu regardais tout à l’heure, dit-elle avec frivolité.

— Euh... mais non... j’ai pas regardé ça plus qu’autre chose.

— Tututut ! C’est pas bien de mentir à sa maman. En tout cas, je vois que mon fils a bon goût ! Ajouta-t-elle en lui battant gentiment le bout du nez de son index.

Les pommettes relevées de Clément s’allumèrent d’une teinte cramoisie et il lâcha simplement un :

— Pff... t’es lourde maman

Leur bus de retour était inexplicablement et malheureusement bondé. Ils se frayèrent tous deux un passage au milieu du véhicule et déposèrent par courtoisie leurs emplettes au ...

... sol. A chaque nouvel arrêt, une vague d’individus, étonnamment las pour un mois de juillet, se pressait dans le bus. Clément se retrouva malgré lui soudé au dos de sa mère. Il déglutit péniblement et tenta de de s’accrocher à la barre au-dessus de lui. Cette promiscuité moite, la séance d’essayage et sa longue abstinence, firent dresser presque instantanément son membre. Il sentit très précisément l’afflux de sang qui décolla sa queue de ses couilles en plusieurs soubresauts. Cette nouvelle sensibilité lui fit remarquer qu’il était simplement séparé du cul de sa mère par sa légère jupe bleue nuit et par une petite culotte qui, selon toute probabilité, avait été partiellement mangée par ce derrière extraordinaire. Non seulement il était physiquement immobilisé mais en plus toute volonté de mouvements l’avait quitté.

Le supplice commença. Ce fut d’abord un dos d’âne, puis le moindre virage ou ralentissement du véhicule qui augmentaient la pression de sa queue contre la raie de sa mère et qui provoquaient un insoutenable glissement de haut en bas.

"C’est pas possible, c’est la honte. Elle est obligée de sentir que je bande", pensa-t-il avec angoisse.

Cette inquiétude ne diminuait en rien le plaisir qui montait et l’extrême sensibilité du gland qui s’était décalotté complètement lors des secousses accidentelles. Voyant que sa mère ne réagissait pas, Clément ne changea rien à sa position et il s’interrogea même sur les intentions maternelles. Que de changements depuis ...