1. Une éducation particulière (4)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raph&clem, Source: Xstory

    ... découvert et remonta tout doucement la fermeture. Son visage avait encore réduit la distance pendant cette opération et son souffle s’appesantissait sur la nuque dégagée de sa mère. Une foule d’odeur lui vint aux narines pendant que les yeux s’attachaient à une petite mèche rebelle à demi collée sur cette nuque dorée par le soleil. Ce fut un mélange de jasmin, d’une délicate touche d’agrume – peut-être de la fleur d’oranger – et la structure lointaine du bois de santal. Ce bouquet était comme sublimé par une douce odeur de sueur et la senteur indéfinissable de la peau chauffé par le soleil qui se rapprochait sans doute du pain grillé.
    
    — Le nœud maintenant...
    
    Raphaëlle souffla cet ordre avec un air d’abandon. Il s’exécuta doucement, ses doigts frôlant innocemment l’épiderme et il ponctua sa tâche d’un irrésistible bisou à la naissance du cou.
    
    — Et voilà le travail ! Claironna-t-il gaiement comme pour chasser l’extraordinaire volupté qui habitait la cabine.
    
    Ils sortirent pour mieux s’admirer, leurs regards ne portant plus uniquement sur la petite robe blanche : la mère contrôlait du coin de l’œil les réactions du fils tandis que celui-ci avait détaillé d’abord la poitrine comprimée avant de s’arrêter au sud du tissu, dans la région des cuisses, qu’il dévorait comme une terre promise.
    
    — C’est un très bon choix, elle est faite pour vous, intervint la vendeuse, vous avez tout ce qu’il vous faut ?
    
    — Oui oui, on n’a besoin de rien, merci.
    
    — D’accord, ...
    ... n’hésitez pas si jamais.
    
    Cette intervention commerçante avait quelque peu rompu le charme mais, dès que la vendeuse disparut, Raphaëlle fit voleter la robe en faisant un tour sur elle-même avant de se diriger d’un pas décidé vers la cabine. Dans la précipitation de ces derniers gestes, le rideau ne se referma pas entièrement. Elle enfila alors la dernière robe choisie, qu’elle s’imaginait porter pour des occasions plus festives. Mais cet essayage prit plus de temps et Clément en suivit la lente progression avec une attention redoublée. A travers le petit interstice, il ne percevait que des extraits du corps de sa mère : ce fut une épaule dénudée, le profil d’une hanche ceinte par le liseré d’une culotte claire et enfin le balancier du chignon qui, après une volteface, fut celui d’une portion des seins étonnement libérés de leur soutien. Le dernier choix de Raphaëlle se nouait également sur la nuque et la large échancrure qui tombait jusqu’au ventre interdisait le port d’un soutien-gorge. Comme si cette ouverture n’était pas suffisante, le dos était entièrement nu jusqu’à la taille.
    
    Les larges hanches de Raphaëlle donnaient naissance à une jupe légèrement bouffante et évasée qui flottait au-dessus des genoux – l’ensemble lui donnant la douceur suave et venimeuse d’une fleur nocturne prête à éclore. Lorsque le rideau tomba, Clément fut stupéfait, sa mère paraissait dix ans de moins. Il ne l’avait jamais vue porter une tenue si sexy. La robe séparait nettement les deux seins. Le ...
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