Une éducation particulière (4)
Datte: 16/11/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raph&clem, Source: Xstory
... quelques jours ! Si chaque petit événement semblait innocent, comme un parfait produit du hasard, mis bout à bout, ils composaient une attitude radicalement différente par rapport aux suites de l’incident des petites culottes. Sa mère l’allumait-elle consciencieusement ? Cela semblait parfaitement impossible. Mais ces réflexions ne se prolongèrent pas et il choisit de feindre l’innocence en savourant l’instant présent. Et quel instant ! Alors que les vicissitudes du trajet s’étaient atténuées, des mouvements imperceptibles et inexplicables animaient les fesses de Raphaëlle. Celle-ci semblait détendre les impatiences de ses jambes et cela produisait de terribles va-et-vient – tantôt de haut en bas, tantôt de gauche à droite – qui mettaient à la torture cette queue gonflée en la branlant dans des vibrations minuscules et moelleuses.
Clément suffoquait, son visage s’empourpra et il sentit monter la jouissance dans sa queue. Avec plusieurs contractions de sa bite, il inonda son caleçon de foutre brulant. Raphaëlle se retourna à cet instant :
— Pfiou... on est bientôt arrivés... mais qu’est-ce que t’as, tu es tout rouge, et tu transpires. Tu vas pas t’évanouir au moins ?
Il fit non de la tête en évitant le regard inquiet et brillant de sa propre mère. Après toutes ces émotions, arrivés devant l’appartement, sa mère le contempla :
— Eh ben, quelle aventure, voilà une bonne chose de faite !
Le garçon acquiesça et, en regardant vers le sol, il découvrit avec horreur ...
... qu’une longue goutte de sperme s’était échappée du tissu et descendait le long de sa cuisse jusqu’à son genou découvert. Sa mère l’avait-elle remarquée ?
Cette jouissance inattendue et l’attitude équivoque de Raphaëlle inspiraient des doutes et de la méfiance à Clément. Une partie de son esprit sentait pourtant croître une vague de plaisir et de perversion dévorante. Bien sûr, il avait profondément honte que son désir pour sa mère se trouve renforcé mais, en même temps, il attribuait cette rechute à des événements extérieurs à sa volonté. Il avait consciencieusement essayé de lutter, même si cela l’avait éloigné de sa mère et il était allé jusqu’à se priver de branlette afin de ne pas tenter le diable. Chaque situation des derniers jours lui avait renvoyé en pleine face cette luxure interdite et, rendu à ce point, il se dit qu’il n’était plus possible de la contrarier. Il lui faudrait simplement la garder complètement secrète et la réserver pour des moments intimes insoupçonnables, en évitant à tout prix une trop grande exposition, comme cela avait été le cas avec la goutte de foutre rendue visible un peu plus tôt. Dans le calme de la nuit, il se branla donc presque religieusement en repensant à l’incident du bus.
Le lendemain matin, Clément – que ses couilles un peu plus vides avaient autorisé à se concentrer sur un livre – entendit sa mère tourner autour du canapé avant d’entreprendre le passage de l’aspirateur :
— Désolée mon cœur, je vais t’embêter un peu dans ta ...