1. Une éducation particulière (4)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raph&clem, Source: Xstory

    ... par-là, des velléités de promenade en forêt, etc. Clément, qui était resté relativement discret, choisit ce moment pour retourner se baigner tranquillement. Après quelques plongeons et quelques brasses dans l’eau transparente, il vit arriver sa mère dans son une pièce rétro. Le blanc cassé du maillot faisait ressortir sa peau mate et sa chevelure noire. Souhaitant profiter de ce bassin, sans pour autant faire un grand plongeon, elle contourna le promontoire en s’enfonçant maladroitement dans l’eau. Le glissant des rochers la trahit et elle se trouva déséquilibrée. Clément s’était déjà rapproché lorsque la chute de Raphaëlle fut inéluctable.
    
    Il essaya de rattraper sa mère qui basculait vers lui. Ils se retrouvèrent bientôt dans une position embarrassante. Les lourds seins avait atterri en pleine figure du garçon qui avait immédiatement ressenti leur moelleux incomparable. Ils dérivaient l’un contre l’autre dans l’eau fraîche, en direction de ce qu’ils appelaient « la petite plage », et Raphaëlle, riant de sa maladresse, chercha à retirer sa poitrine du nez de son fils. Elle descendit légèrement contre le torse presque imberbe mais déjà nettement dessiné de l’adolescent : mère et fils se trouvèrent alors allongés l’un sur l’autre, face à face, et ils s’esclaffèrent pour de bon. Les secousses du rire les pressèrent encore davantage et Raphaëlle s’aperçut que leurs pubis étaient littéralement collés. Les secondes qui passèrent lui semblaient infinies. Cette position équivoque ...
    ... n’entama pas son allégresse : la journée était merveilleuse et ce rapprochement était peut-être le signe d’une complicité retrouvée. Cela dit, plus le contact se prolongeait, plus elle se troublait.
    
    Elle sentait les muscles de son fils frémir, elle avait presque l’impression de deviner la chaleur de son membre contre sa toison et, après les plaisanteries échangées, ils se regardèrent profondément. Les yeux noirs de la mère perçaient la douceur noisette des prunelles du fils, la respiration se fit saccader et ralentie, la chair de Raphaëlle s’était délicatement hérissée sous le frisson, les gouttes s’écoulaient du visage brun et de ses mèches sombres pour venir s’écrasaient sur les lèvres closes, délicieusement roses, du garçon. Comme un instant de grâce. L’ensemble de cette volupté était souligné par une lumière de fin d’après-midi qui perçait à travers le feuillage épars et faisait scintiller leur peau humide. Elle rompit le silence, les joues en feu : « C’est bon maintenant, tu peux me lâcher, je suis sauve » dit-elle avec humour.
    
    Raphaëlle glissa sous l’eau et nagea longuement en apnée comme pour effacer le trouble provoqué par ce contact si intense avec Clément. Quand elle refit surface, le corps du jeune homme était étendu sur la berge. A cette distance, sa peau claire et humide offrait un contraste saisissant, presque surnaturel, avec le vert sombre des mousses qui l’entourait : sa posture bien ancrée dans le sol avait pourtant quelque chose de céleste. Bien sûr, ...
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