Une éducation particulière (4)
Datte: 16/11/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raph&clem, Source: Xstory
... qui tendit sa poitrine volumineuse vers l’avant. Elle dégrafa l’attache de son soutien-gorge puis, avant de le retirer d’une manière experte par l’avant de son décolleté, en baissa méthodiquement chacune des bretelles : « Ahh... c’est bon ! Commenta-t-elle lascivement. C’est pas tenable ces trucs là avec une chaleur pareille ». Cette scène extraordinaire tira Clément de sa mollesse. Il voyait à présent le buste de sa mère sans autre obstacle que le très fin débardeur blanc qu’elle portait ce jour-là. Au moment où le soutien fut retiré, il avait nettement perçu le petit rebond des deux grosses pommes de sa mère. Celles-ci semblaient se mouvoir beaucoup plus librement et on avait l’impression que toute cette magnifique gorge pouvait sortir ou déborder d’un instant à l’autre. En outre, la finesse du tissu laissait deviner la grosseur des tétons, à moins que cela ne soit une hallucination due à l’emportement adolescent face à cette beauté naturelle et plantureuse.
Tandis que mère et fils continuaient à bavarder et que le sexe de Clément avait repris sa vie parallèle, le garçon s’interrogea : sa mère faisait-elle exprès de le tourmenter avec sa nouvelle sensualité ? Mettait-elle à l’épreuve la promesse qu’elle lui avait arrachée ? Ou était-ce simplement sa propre abstinence à lui qui le plongeait dans un délire érotique transformant d’innocents faits en séduction ravageuse ?
— Ben, qu’est-ce que t’as Clément ? T’as l’air tout chose ?
— Non, non, t’inquiète pas maman, ...
... c’est juste la canicule qui me fatigue.
— Oui, je comprends, enchaîna-t-elle, on peut rien faire avec cette chaleur. D’ailleurs il me faudrait des tenues plus estivales et un nouveau maillot. Toi aussi, ça ne te ferait pas de mal de renouveler ta garde-robe, ce short que tu portes a au moins quatre ans ! Ça te dit de m’accompagner demain ? On s’en débarrasse vite fait comme ça ?
— Puisque il le faut, il le faut, répondit-il en faignant la mauvaise grâce.
— Ça, c’est mon garçon, plaisanta-telle en lui pinçant doucement la joue.
Le lendemain, Raphaëlle et Clément parcouraient les rues commerçantes du centre-ville à la recherche de vêtements d’été et de la fraîcheur artificielle des boutiques. Ils réalisèrent l’intégralité des achats pour Clément dans une même enseigne, celui-ci n’étant pas particulièrement porté sur la mode et voulant se débarrasser de ces emplettes au plus vite. Raphaëlle se montra plus exigeante et les deux premiers magasins visités ne donnèrent rien d’autres que quelques commentaires tels que : « Holala, c’est vulgaire... », « mais qui peut porter ça ?! », ou encore « qu’est-ce que c’est moche ! ». Ils entrèrent dans un commerce plus diversifié, dont la vitrine arborait un ensemble de tenues féminines aux couleurs douces, s’adressant visiblement à des bourgeoises chics qui voulaient conserver ce « petit air de rien », comme une survivance décontractée pour des soixante-huitardes ayant réussi dans le système qu’elles contestaient durant leurs jeunes ...