Une éducation particulière (4)
Datte: 16/11/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raph&clem, Source: Xstory
... masturbatoire – si fréquente autrefois – était à l’arrêt. Dans ce vide soudain, il constatait de plus en plus d’érections involontaires dont il ne savait que faire.
Un matin, la température avoisinait déjà les trente degrés et Clément mangeait son bol de céréales en caleçon quand une de ses érections accidentelles se présenta dans la moiteur de la pièce. Il entendit sa mère descendre l’escalier et s’avança un peu plus contre la table pour masquer à tout prix sa gêne. Lorsqu’elle passa à côté de lui, lui adressant quelques commentaires météorologiques, il sentit que quelque chose était changé. Après une seconde, il comprit que c’était la tenue de sa mère : en lieu et place de l’habituel pantalon souple qu’il trouvait informe, il n’y avait tout simplement rien. Raphaëlle ne portait qu’un grand t-shirt qui lui arrivait en dessous des fesses et peinait à masquer la culotte que Clément apercevait dès qu’elle s’agitait, et particulièrement quand elle attrapa son mug en haut de l’étagère. Il reconnut immédiatement la même culotte noire, sa première trouvaille, qu’il avait tenu tout contre sa queue il y avait quelques semaines à peine. Ce qu’il voyait par intermittence dépassait largement ce qu’il avait imaginé.
Non seulement la raie des fesses était parfaitement visible et s’ouvrait en suivant certains mouvements, mais en plus la culotte était légèrement happée par cette magnifique chair et laissait découverts les jolis plis arrondis qui reposaient sur les deux cuisses. ...
... L’érection, accidentelle au départ, trouva dans ses fesses dévoilées par une transparence outrageuse le prétexte idéal pour se renforcer. Le propriétaire de cette bite tendue ne pouvait rien faire, il était effaré, paniqué, mais son organe mâle avait depuis quelques secondes une vie indépendante. Clément s’enfuit comme un voleur dans sa chambre, sortit cette queue gonflée de désir et alors qu’il s’apprêtait à l’empoigner, son esprit fit barrage : « non... c’est pas possible, c’est ma mère quand même... ». Le fils ne se soulagea pas et ses couilles continuèrent à bouillonner furieusement.
En fin d’après-midi, Raphaëlle, qui rentrait d’une séance de cinéma, où elle avait davantage cherché la fraîcheur que le divertissement, trouva Clément qui somnolait paresseusement sur le canapé. L’arrivée de sa mère sortit à peine le garçon de sa torpeur, il se retourna tout de même :
— Alors ? Ton film, demanda-t-il d’une voix pâteuse, c’était bien ?
— Mmm... oui. Un long film chinois, un peu trop dans le sentimentalisme à mon goût, mais au moins j’étais au frais pendant trois heures. Tu devrais venir avec moi un de ces jours.
— Ouais, moi le ciné tu sais...
— Tu vas pas me faire le coup de l’ado blasé quand même, je suis sûre que cela pourrait te plaire, dit-elle avant de changer brusquement de sujet. Pfiou... ce qu’il fait lourd dans cette pièce, y a pas d’air. C’est pire que dehors.
Et alors qu’elle répétait cette considération évidente, elle passa ses mains dans son dos, ce ...