Une éducation particulière (4) - Histoires de Sexe

Une éducation particulière (4)

... lecture.

Sur ces paroles, Raphaëlle commença son ménage. Elle avait toujours cet unique t-shirt pour toute tenue d’intérieur et Clément se réjouit de cette occasion rêvée pour apercevoir, par-dessus son livre, la culotte de sa mère. Alors qu’elle s’escrimait dans un coin opposée, elle se pencha davantage pour mieux faire son travail : Clément se pétrifia. Dans les premières secondes, étant donnée la distance, il eut une incertitude : sa mère était-elle sans culotte ? Puis, l’ombre noir des poils recouvrant les lèvres gonflées ainsi que l’écartement des fesses qui, sous l’effort, dévoilait la flamme brune de l’anus, lui ôtèrent finalement toute réserve. Il n’en croyait pas ses yeux, sa mère l’allumait, le doute n’était plus permis. Sa main droite serra un peu plus les pages mais il laissa tomber la gauche vers son entrejambe et profita du spectacle et de l’inattention de sa mère pour palper sa queue à travers son short. Cette vision dépassait tout ce qu’il avait pu imaginer et l’aspect un peu vulgaire, presque pornographique, de cette scène de ménage si stéréotypée était infiniment décuplé par le fait qu’il ne contemplait pas une quelconque actrice X mais l’intimité la plus belle et interdite qui soit, celle de sa salope de mère.

Raphaëlle se releva et masqua à nouveau tout ce qu’elle venait d’offrir. Elle jeta un coup d’œil à son fils qui avait l’air hébété et qui affichait une énorme érection perçant à travers son short. Elle continua le nettoyage avec énergie et ...

... candeur. Elle se rapprochait maintenant de son garçon médusé pour s’attaquer au tapis du salon et aux alentours du meuble télé. Lorsqu’elle s’occupa de cette dernière pièce de mobilier, elle n’était plus qu’à trois mètres et les regards de Clément lui brulaient presque le dos. Pour mener à bien sa tâche, elle entreprit de démêler les nombreux fils qui lui barraient le passage. Dans le bruit assourdissant de l’aspirateur, Clément vit une nouvelle fois tout le derrière de sa mère. Elle lui présentait outrageusement son abricot velu qui laissait deviner le rouge sombre de la peau et dont les petites lèvres repliées semblaient presque scintiller. L’énorme cul rebondissait à chaque mouvement comme dans un twerk involontaire et les fesses s’écartaient et se pressaient alternativement dans un délicieux écho de chair, dévoilant par moments le beau trou du cul fripé et les fameuses lèvres qui s’entrouvraient délicatement.

Clément manqua de perdre la raison et pendant quelques secondes, son corps se contracta, prêt à bondir. Il ne pensait qu’à une chose : approcher son visage, embrasser ce cul délicieux, le renifler, écarter les lèvres de son nez puis de ses doigts avant de récolter suffisamment de mouille pour lubrifier l’ensemble de la crevasse et branler sa grosse queue entre les chairs de cette mère impudique. Lorsque Raphaëlle se redressa à nouveau, Clément était debout, le sexe notoirement bandé, et il changea brusquement la trajectoire de sa course pour monter en toute hâte dans ...