Petit goût de "Revenez-y"
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
extracon,
cocus,
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... nos bites qui se frottent encore plus.
— Tu aimes ? demande Sandrine à celle qu’elle a entraînée dans ce plaisir.
— Oui. C’est… c’est…
La tentatrice rit :
— C’est ça, en effet… Difficile à expliquer…
Et puis elle ajoute :
— Vous les mecs ne bougez pas. C’est Adèle qui va le faire.
On ne bouge pas. Pierre de toute façon est bloqué par la femelle. Moi, je ne bouge pas, au moins au début. Au début où elle cherche la bonne façon. Ce n’est pas si évident de contrôler ses mouvements. Plusieurs fois elle me chasse sans le vouloir de son cul, mais c’est un excellent prétexte pour que je l’enfile d’un coup sec.
Et puis elle s’habitue. La salope s’active sur nos deux bites. En appui sur les deux bras, elle ondule plus qu’elle ne monte ou descend. L’effet est le même. Je nous vois dans le miroir. Trio auquel vient se joindre la maîtresse de maison. Elle sait apporter sa touche vicieuse en caressant ma femme, en enveloppant nos boules dans ses mains.
Adèle jouit c’est une évidence. Une jouissance qu’elle entretient et qu’elle nous partage par des paroles si simples, comme :
— Oh ! C’est bon… C’est bon… Vous êtes… Je vous sens si gros…
— Jouis, ma chérie, l’encourage l’autre femelle.
Elle fatigue. Nul besoin de me le demander. Je prends et Pierre avec moi, la suite des opérations. C’est nous qui la baisons. Longuement, longuement. Pierre me fait le signe de la main pour me dire qu’il va jouir. Moi, je me retenais depuis un moment. Merde, je bande depuis ...
... des heures. Lui au moins, il s’est déjà vidé dans ma pute de femme.
J’ai failli parler tellement c’est bon.
Combien de fois avons-nous honoré Sandrine de cette façon ? Chaque fois, c’est très bon. Mais tout de suite, c’est autre chose. Une jouissance volée. Un plaisir coupable. Je ne suis qu’un salaud. Depuis des mois, ma vie n’est que mensonge. Maintenant c’est ma femme qui me rejoint dans ces turpitudes si addictives. Le pire, c’est que je me cache la vérité. La preuve, j’ai bandé comme un malade et j’ai senti un plaisir incroyable à profiter d’elle.
Cocu, oh que oui ! Et de quelle façon !
J’ai assisté deux fois à mon cocufiage. Les deux fois, j’ai bandé tout en me persuadant que j’étais le plus malheureux des hommes même si je suis le responsable de tout cela.
— Ohhh!
On se vide les couilles.
Non, c’est ma femme tout de même. Je ne me vide pas les couilles dans ma femme, j’éjacule.
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C’est une impasse. Je suis dans une impasse. Notre couple est dans une impasse. Quoi que je fasse, je me heurte à un mur de mensonges. Et c’est la même chose pour Adèle.
Car je ne doute pas qu’elle veuille continuer à voir mes amants. Elle a goûté à des plaisirs si forts ! Comme moi !
Lui parler, c’est me dévoiler. Et j’imagine que ce n’est pas elle qui va venir m’avouer un truc du genre : « tu sais, mon chéri, je me suis fait prendre en sandwich et c’était divin… Je crois que je vais recommencer. Ça ne te dérange pas ? »
Je rentre comme ...