1. Petit goût de "Revenez-y"


    Datte: 02/09/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, extracon, cocus, hsoumis, miroir, Oral pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... sourire.
    
    — Et c’est maintenant que tu le découvres ? Allez, va te doucher.
    
    C’est une douche à l’Italienne avec juste une grande vitre qui sépare du reste de la pièce. Tout en me lavant, je remarque qu’Adèle prend du temps pour bien s’essuyer. Un peu comme si elle attendait. Comme si elle m’attendait en m’offrant le plus délicieux des spectacles, en bougeant d’une façon si lascive que je bande. J’avance sans même arrêter le jet. Elle ne peut pas ignorer mon érection.
    
    — Alors comme, cela je suis belle ?
    
    La serviette tombe bien à propos sur le sol de pierre. C’est une protection pour ses genoux. Sa main est fraîche, mais ses lèvres brûlantes. Pendant de longues minutes, elle me suce. Je chasse de mes pensées la vision de ma femme goûtant à la grosse bite de Pierre. Pourtant j’ai l’impression qu’Adèle est plus volontaire que d’habitude, que ses lèvres avancent plus sur ma hampe, que sa langue enveloppe mieux mon gland, que sa main est plus enveloppante pour mes couilles.
    
    C’est bon. Le miroir ne me la montre pas, il est trop haut, mais je me vois, le visage troublé par ses caresses. Le miroir. Le fameux miroir.
    
    Je l’invite à se relever. C’est moi maintenant qui plonge entre ses cuisses. Elle tourne le dos au meuble, mais s’en sert pour mieux s’offrir. Sa chatte est douce, sans odeur si ce n’est le parfum du gel de douche. En fléchissant des jambes, elle accompagne mes doigts qui l’envahissent et pousse son clito vers mes lèvres. Elle gémit. C’est bon. Je la ...
    ... retrouve.
    
    — Viens. J’ai envie. Viens.
    
    Que cette musique est douce.
    
    Je monte doucement. Mes lèvres tracent des sillons de plaisir. Elle frissonne. C’est bon. Je m’attarde longuement sur ses seins. Lorsque je prends sa bouche, j’ai abandonné une poitrine gonflée avec des tétons comme des petites bites rouges.
    
    Elle ferme les yeux. Mon sexe est contre le sien. Elle bouge pour me chercher. Sa main me saisit. Elle me guide.
    
    Mais moi je nous vois dans le miroir. Je la vois elle, la tête en arrière, gémissant alors que j’entre dans sa grotte. Je me vois moi, le visage rouge, les cheveux mouillés dans tous les sens.
    
    — Attends… comme ça ! je lui susurre dans le creux de l’oreille alors que je l’abandonne un instant pour la faire tourner.
    
    Elle a les yeux fermés. Naturellement, sa croupe me cherche. J’entre en territoire conquis. Très vite je la bourre. Elle gémit. Je voudrais croiser son regard, mais elle garde toujours les yeux fermés. C’est souvent le cas. Adèle lorsque nous baisons a souvent les yeux fermés, comme si une pudeur lui interdisait de découvrir ce que nous faisons ou comme un besoin de rester concentrée, toute à son plaisir.
    
    Pourtant j’ai le souvenir du jour de l’An. De cette femme qui se regardait dans la glace, qui découvrait la bite de son amant, comme moi, de l’autre côté du miroir, suivait le va-et-vient de ce mandrin qui déformait une chatte pourtant pas habituée à un engin pareil.
    
    Une autre femme ! Alcool, excitation, mise en scène du couple, ...
«1234...18»