Petit goût de "Revenez-y"
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
extracon,
cocus,
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... magnifie. Pourtant si un inconnu entrait, il pourrait penser découvrir une ado sur un corps de mâle, brute de muscle, dont les poils affirment encore plus la virilité. Et que penserait cet inconnu alors qu’il découvrirait le mandrin dressé vers le ciel, si large si long et qui pourtant disparaît facilement dans une grotte de jeunette.
Toujours ce mouvement réflexe de la femme qui se prend. Mouvement ondulatoire qui n’a rien de la mécanique de ce physicien célèbre.
Pierre me fait signe de la main. Celle qui le chevauchait se couche sur l’encolure du cheval imaginaire qu’elle chevauche.
J’ai déjà vu ce spectacle. Ces bourses qui suggèrent que la queue est tout entière dans la chatte. La chatte de Sandrine. Des couilles que je lèche. Ma langue remontant vers ce petit trou que la position écarte un peu, mais que les mains de Pierre font s’ouvrir encore plus. J’y glisse ma langue. Ce n’est pas la voix de Sandrine, mais celle de ma femme qui se fait entendre. D’ailleurs les fesses sont moins marquées, moins en chair.
Elle bouge sur mes caresses. Depuis quelque temps, et je comprends mieux maintenant, Adèle accepte ce type de caresses. Elles sont devenues l’étape des préliminaires de ce qui suit immanquablement.
Mon Dieu, faites que ce soit moi qui aie défloré le petit cul de ma femme et non pas Pierre.
C’est con, mais J’y attache beaucoup d’importance.
Petit cul qui m’attend.
Je me redresse. Je pointe mon bâton d’une dureté qui me dénonce comme mari cocu, ...
... mais heureux d’en profiter. Mon gland se frotte. La salope se raidit. Je pousse un peu. Elle résiste.
Clac! La pichenette de ma main sur cette fesse crispée la surprend et je profite pour forcer l’anus.
— Ahhhh!
« Eh oui, voilà ce que c’est d’être ambitieuse. Tu vas voir ce n’est que le début ».
J’avance. Ma queue salue celle de Pierre. Elles ont l’habitude de se croiser parfois lui devant, parfois moi pour apporter ce plaisir dont Sandrine raffole.
— Il est gros. Ohhh, doucement.
« Mais, ma chérie, ce n’est pas ma faute, c’est celle de Pierre qui occupe toute la place avec son gros machin ».
Je continue ma lente progression.
« Tu aurais mérité que je t’encule d’un coup sec pour t’apprendre à me tromper. Me tromper à la rigueur avec un autre j’aurais pu accepter, mais avec eux, c’est me trahir ».
— Ahhhh!
« Voilà, j’ai fait de mon mieux, je suis dans ton petit cul. Moi aussi ça me fait un drôle d’effet, tu sais. Je ne vois pas ton visage, tu es cachée dans l’épaule de ton amant. Je ne vois de toi qu’une femelle encore dénudée par cette lingerie sexy. Mais je te reconnais à plein de signes. Des formes, le grain de ta peau, la tache dans le creux de tes reins et cette chevelure dont la blondeur naturelle te va si bien ».
Elle bouge un peu. Toujours ce réflexe exploratoire qui cherche a bien sentir ce qui l’occupe.
— Oh, mon Dieu, jamais je n’ai senti ça, dit la femelle qui reprend vie et se redresse un peu.
En bougeant ainsi elle entraîne ...