1. Petit goût de "Revenez-y"


    Datte: 02/09/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, extracon, cocus, hsoumis, miroir, Oral pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... eux que mon couple s’épanouit sexuellement et que j’avance pour un jour confronter Alice avec Adèle dans l’intimité de la maison.
    
    J’ai compris pourquoi je suis ici. Je ne doute pas que Sandrine a distillé dans l’esprit de ma femme le plaisir d’avoir deux hommes sous la main. Je l’imagine lui raconter cette possession si particulière. Je l’imagine aussi penser que moi j’ai connu cette expérience.
    
    Le trio se relève.
    
    — Tu es prête ? demande Pierre dans un mouvement tout en douceur.
    — Oui, répond Adèle qui maintenant fixe le miroir comme si l’homme allait en surgir.
    
    Sandrine apporte un bandeau.
    
    — Pourquoi ? elle demande.
    — Pour le plaisir. Tu ne le verras pas, mais tu vas pouvoir l’imaginer, le fantasmer, lui donner le visage que tu souhaites. Un collègue, un inconnu que tu as croisé en venant, un voisin, ton mari…
    — Comme tu veux.
    
    Sandrine fixe le bandeau. Il me semble qu’elle y met beaucoup de soin. D’ailleurs il est plus grand que celui du jour de l’an qui avait sauté lorsqu’elle avait enlevé la robe.
    
    Un geste. Le temps de me déshabiller et j’entre. Cela fait tout drôle de me retrouver ainsi. De l’autre côté, cela paraissait irréel, comme inventé. Ici, c’est autre chose. Elle est là, bien là. La pièce sent l’amour. Parfum que les corps dégagent. Parfum qui se mélange avec celui des deux femmes.
    
    Pierre me fait le signe du silence complet. Je ne suis pas con à ce point, j’avais compris le stratagème.
    
    Il me fait asseoir. Lui fait de même. ...
    ... Sandrine guide la femme vers nous. Elle dirige chacune de ses mains pour reconnaître nos sexes. Elle y trouve deux mandrins bien en chair. J’imagine que Sandrine reconnaît celui de Pierre, à la taille, au fait qu’il est encore humide d’un mélange de foutre et de sucs intimes.
    
    Et moi ? Ma bite est classique. D’accord, Sandrine la pratique depuis des années, mais les yeux bandés, sans que rien ne suggère son mari…
    
    — Suce-le.
    
    Elle ne se fait pas prier. Ses lèvres trouvent leur chemin dans l’obscurité de son bandeau. Elle s’applique. Elle n’a pas la gourmandise de tout à l’heure et d’une certaine façon, elle remonte dans mon estime.
    
    Pas vraiment la salope qui saute sur chaque queue qui passe à portée de main.
    
    Mais elle semble pourtant apprécier ma présence. Ses mains se promènent sur mon corps. Sa bouche se fait plus ouverte. La salive plus coulante.
    
    — Choisis comme tu veux.
    
    Elle s’interrompt. Elle a fantasmé ce moment, mais certainement que le fantasme s’est aussi transformé en hypothèse. Quand ? Comment ? Avec qui ? De quelle façon… Jusqu’à penser aux détails les plus intimes….
    
    Pierre… ? L’autre… ?
    
    C’est vers Pierre qu’elle se dirige. Il s’allonge pour lui laisser la place de monter sur lui. Elle le chevauche. Le contraste est saisissant. Le bandeau cache les yeux et donc le regard qui montrerait que ce visage poupin cache une âme plus aguerrie aux choses du sexe. Qu’il ne faut pas se fier à ce corps juvénile, mais s’attacher aux rondeurs que la lingerie ...
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