Petit goût de "Revenez-y"
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
extracon,
cocus,
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... de tailleur. Pas de chemisier, juste un soutien-gorge qui ne soutient rien, mais ne fait que souligner avec ce jeu de rubans qui entourent la base des lobes. Une tenue de salope déjà prête.
Même chose pour Sandrine. Brune et blonde, copie de l’une, miroir de l’autre. Même culotte string. Même porte-jarretelles. Même bas. Quand je pense qu’Adèle m’a dit que cet accessoire était vieillot. Pas si vieillot que cela, chienne, salope ! Tu fais bien de concession aux goûts de tes amants.
Maintenant qu’elles sont en tenue, elles rejoignent l’homme de la pièce. Un homme ! Deux femmes ! Quatre mains qui le déshabillent. Deux bouches qui l’embrassent. Des bouches et des lèvres qui se promènent sur son corps. Je reconnais la façon dont ma femme suce les tétons. La garce !
Un homme. Une bite déjà en érection. Des mains qui bataillent. Des lèvres qui se défient. Deux salopes devant un pieu et des couilles qu’elles idolâtrent. C’est à celle qui le léchera le mieux. À celle qui lui bouffera les couilles. À celle qui avancera le plus sur la hampe. À ce petit jeu, Adèle ne gagne pas, mais elle est loin la nuit du jour de l’an où elle avait du mal juste pour le gland.
Il va juter, c’est évident. Moi, à sa place, avec ces deux adoratrices, efficaces dans leurs actes, mais surtout montrant une vraie appétence pour cette caresse, j’aurais laissé le sort décider qu’elle gorge recevrait ma semence.
Mais pas lui. On peut lui reprocher beaucoup de choses, mais Pierre sait diriger un ...
... débat.
Il les chasse. Il fait allonger sa femme pour que la mienne plonge entre les cuisses ouvertes. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle arrache des cris à Sandrine. Mais la croupe d’Adèle est une tentation à laquelle il ne résiste pas. Il la prend en levrette. Je constate qu’il est bien plus invasif que pour le jour de l’An.
Évidemment la salope le connaît bien, maintenant. Si elle crie sa jouissance, elle est étouffée entre les cuisses de la femme. Mais son corps parle pour elle, sa croupe ondule, elle cherche le mâle, elle lui offre sa grotte.
Pierre toujours taquin et provocateur me sourit et lève un pouce vers le haut. Le salaud se répand dans ma pute de femme.
Pute !
Qui est la pute dans cette histoire ? Moi, le mari qui me fait tringler comme une femelle, une Alice toujours disponible, chienne qui aime qu’on la couvre.
Ou bien ma femme qui suit le même chemin.
Pute, non ! On les paye, pas nous !
Mais si, pas un salaire en argent, mais en plaisirs, en jouissances, en dépassement de soi.
J’imagine que des juges impartiaux rejetteraient la responsabilité sur moi. Après tout, c’est à cause de moi que tout cela est arrivé. Je n’avais qu’à pas me laisser emporter par des envies refoulées et Adèle ne serait pas comme elle est, coincée entre mari et épouse de ce couple plus que libertin, enjôleur et manipulateur.
Mais il faut voir le bon côté des choses. C’est grâce à eux que je me sens bien dans mon corps comme dans ma tête. C’est aussi grâce à ...