D'une salopette Zara au Red District
Datte: 18/03/2024,
Catégories:
Transexuels
Vos histoires
Auteur: Ungarees, Source: Histoires-de-Sexe.club
... C’est grave ?
- Bof. Un diplôme de LEA, ça ne mène pas à grand-chose
- Tu aimais bien tes études ?
- Oui, j’aimais bien. Mais avec ce qui m’arrive, je ne sais plus trop où j’en suis. Je sais juste que tu veux mon bien et que tu m’aimes. Un peu comme une maman, Ha ha ha !
- Non ! Pas une maman, mais tu as raison, arrêtons-nous. Ce matin, on n’a encore rien fait.
Il tourna dans un chemin de terre, sans crainte pour la Bentley. Il y avait une maisonnette très jolie. On y entra. L’endroit était clairement habité mais désert pour le moment. Un salon, une salle de bains et une chambre. Il s’approcha de moi et me déshabilla.
- Tu as gardé… ton équipement… tu avais peur qu’il te manque ?
- J’aime ce harnais et ce gode. Ils vont avec moi et avec toi
- Tourne-toi. Lève les bras et mets les mains sur le mur. Cambre-toi
Il me retira le harnais en entier, ainsi que le gode et me pénétra aussitôt. Nous n’avions jamais fait l’amour debout. A chaque coup de boutoir, il me soulevait de terre. J’aimais cela, sentir toute cette vie qui passait en moi. On s’effondra sur le gros tapis, devant la cheminée. On prit une douche et on reprit la route.
Je regardai les panneaux. On arriva en Belgique, puis en Hollande. Amsterdam. Red District. J’en avais entendu parler.
On s’arrêta au bord des canaux, un très bel hôtel, mais petit et discret. Il fallait amener les valises au quatrième étage. On avait une très jolie chambre, ...
... genre voyage en amoureux. Il était tard. Gaël sortit dîner sans moi mais revint vite. J’avais allumé la télé et je m’aperçus que cela faisait exactement quarante jours qu’il m’avait enlevé. Quarante jours que je n’avais rien mangé. Pratiquement autant qu’il me sodomisait matin et soir au point que j’en étais devenu addict. J’éteins la télé, et il me déshabilla, harnais et gode compris. Nous nous couchâmes nus, je me blottis contre lui et après quelques caresses rapides, il me prit amoureusement, en missionnaire, en levrette, tout en prenant soin de caresser mon sexe constamment. Comme toujours, nous avons joui ensemble.
Le lendemain matin, on a remis ça. Je me tenais nu face à la fenêtre, les mains accrochées aux rideaux. Il me besognait d’une nouvelle manière, sauvage. Je jouis en même temps que lui, maculant les carreaux.
Les trois valises ne contenaient pratiquement que des vêtements pour moi. Pour m’habiller en femme, pour ne pas dire jeune femme ou fille. Il y avait aussi deux grosses boites de complément alimentaire.
- Je dois m’absenter quelques jours.
Ce fut un choc pour moi. Je ressentis un grand vide, tout en comprenant que ce vide allait être encore plus violent dans les heures et les jours qui suivent.
- … combien de jours ?
Réussis-je à balbutier. Il soupira, semblait à la fois ennuyé et sincère
- Je ne sais pas exactement. Mais rassure-toi, j’ai tout prévu.
- Tu n’as pas prévu ce que ton absence peut représenter pour ...