1. D'une salopette Zara au Red District


    Datte: 18/03/2024, Catégories: Transexuels Vos histoires Auteur: Ungarees, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... et l’absence de sollicitation sexuelle pendant je ne sais combien de jours, j’étais facile à exciter. J’étais outré d’être le jouet de ce pervers, mais je découvrais de nouvelles sensations auxquelles il est impossible pour quiconque de rester insensible. J’étais tout dur, prêt à jouir et lui, de même, je le sentais très dur, très profond, très fort. Pourtant, je me refusai à jouir. Je crois que c’est au moment où il le sentit qu’il se retira.  Il m’essuya soigneusement, délicatement, me remit ce gode dans l’anus et referma les boutons du harnais et sortit sans un mot, avec le travertin sous le bras.
    Je passai une journée étrange à tenter de retrouver mes esprits. Le soir venu, Gaël entra avec un verre d’eau fraîche et une paille. Je le bus aussitôt. J’étais assis à côté de lui sur le lit, et il commença à me caresser. Je me laissai faire un peu froidement mais la nature étant la nature, on voyait tous les deux très nettement à travers mon harnais l’effet que ça me faisait. A nouveau il me fit allonger sur le dos cette fois, il me déboutonna et me retira le gode, m’écarta les jambes et il s’allongea sur moi en me pénétrant aussitôt. Cette fois, il trouva ma bouche avec la sienne et m’embrassa avec la langue. Je me laissai faire sans y mettre du mien. On a sa fierté tout de même. On a sa fierté mais je dois reconnaître que je vivais des sensations que je savais exceptionnelles. A un moment, je me pris à me demander « et si j’en profitais ? » et je commençai à renvoyer à Gaël ...
    ... son baiser, et à onduler sous lui. Quelques instants plus tard, je jouis et lui en même temps. Mon sperme maculait nos ventres respectifs, et je pense que j’en avais plein du sien dans le rectum. On est resté là comme des cons pendant cinq minutes. Il se leva et fit ma toilette, remit le gode en place et referma les boucles de mon harnais.
    C’est devenu presqu’un rituel. Tous les matins, tous les soirs, il venait me faire l’amour. Ça a duré des jours et des jours. Je n’avais pas tenu de compte. Je maigrissais à vue d’œil, mais ça ne me dérangeait pas. Je ne lui ai jamais demandé de nourriture. Après tout, il voulait mon bien n’est-ce pas ? Il n’allait pas me laisser mourir. Un jour, il m’a retiré les menottes.
    -          Je te les enlève. Mais il y a une règle…
    -          Tu ne m’as pas demandé d’accepter la règle, mais tu me les as déjà enlevées…
    -          Si tu n’acceptes pas cette règle, c’est que tu n’acceptes pas non plus les précédentes… Sais-tu pourquoi je t’avais mis ces menottes
    -          Pour que je ne m’échappe pas !
    -          Oui et non. Surtout, je ne voulais pas que tu laisses ton excitation s’échapper. On fait tant de choses avec les mains ! Alors la règle c’est : interdiction de jouer avec ton sexe ou avec ton trou, interdiction d’en retirer le harnais ou le gode. Mais je suis sûr que tu avais compris. J’espère que tu en comprends le sens et l’intérêt
    -          Je vais essayer
    -          En échange, je te promets de continuer à passer te voir matin ...
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