1. Éloïse


    Datte: 15/08/2025, Catégories: fh, hplusag, profélève, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... peu et s’appuie au dosseret, prend un clope sur la table de nuit et l’allume.
    
    — Tu en veux une ?
    — Oui, merci.
    — Désolée si j’ai été un peu… cavalière. Malgré l’habitude, chaque fois ça me met en transe, le bulbe à l’envers et le ventre en folie. Y’a pas, faut que je baise aussitôt après.
    — Mais quand tu es seule ?
    — Regarde, dit-elle en ouvrant le tiroir de sa table de nuit, rempli de godemichets.
    — Ah ok. Et ça arrive souvent ? Que je puisse t’être d’un quelconque secours…
    — On remet ça dans une vingtaine de jours si ça n’a pas marché. En tout cas, elle ne s’est pas trompée, la p’tite Éloïse. Tu fais plutôt bien l’étalon de service.
    — Merci mais pas très difficile. Le spectacle m’avait bien excité et puis tu es si… superbe, féminine, érotique, animale…
    — Vouais, vouais, vouais ! Arrête là, ça suffira pour aujourd’hui. T’as pris ton pied, moi aussi, nous sommes quittes.
    — T’as raison, d’ailleurs il faut que j’aille bosser.
    — Moi aussi, qu’est-ce que tu crois. Une ’tite douche avant ?
    — Pas de refus.
    
    Je repars les couilles vides et l’esprit guilleret, vraiment ravi d’avoir profité de ce corps exceptionnel. Juste l’occasion de reprocher sa langue trop longue à Éloïse, qui me dit pour sa défense :
    
    — T’inquiète, elle ne dira rien, j’en ai trop à son service en retour.
    — Ah bon ? Elle est aussi légère que ça ?
    — Bien pire, t’imagines pas. Un jour, je t’appellerai, tu jugeras par toi-même…
    
    Dans les jours qui suivent, j’y pense fréquemment et ces ...
    ... pensées conduisent plusieurs fois ma main vers mon sexe, en imaginant tout ce que j’ai encore envie de lui faire. Mais pas de précipitation, ne pas donner l’impression d’être en manque d’elle, j’attendrai l’occasion propice, dans une vingtaine de jours a-t-elle dit. La date est réservée dans mon agenda. Hélas, réunion en préfecture juste ce jour-là, impossible d’y échapper. Aussi me pointé-je un peu tard, juste après onze heures. Petit costard propret, petite sacoche qui va bien, rien de suspect vu de l’extérieur. Je vais pour frapper à la porte-fenêtre mais retiens mon bras en plein vol. À travers la vitre où mon ombre supprime les reflets du soleil, j’aperçois une scène peu banale. Les sons viennent confirmer mon impression première. La belle est bien là mais pas seule. Elle n’a même pas pris le temps de monter à l’étage, l’urgence devait être trop forte. C’est sur la table basse du salon que ça se passe. L’un des palefreniers y est étendu sur le dos, sa patronne le chevauche et le second, qui n’a même pas eu le temps de poser ses bottes crottées, complète la pénétration par le conduit étroit.
    
    Mon premier réflexe est de partir en courant, la gorge sèche et le cœur en chamade. Mais c’est comme si j’avais soudain besoin de vérifier, d’être sûr, de ne pas me tromper sur la réalité de la chose. Et puis c’est aussi fascinant qu’un canasson grimpant une jument. Non, c’est bien ça, pas d’erreur. La belle aux formes si voluptueuses sert d’épaisse tranche de jambon dans le sandwich, ...
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