Éloïse
Datte: 15/08/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
profélève,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... tressautant à chaque coup des deux boutoirs bien synchronisés, laissant supposer que ce n’est pas la première fois. La bouche grande ouverte, tiens il reste une place, elle braille son plaisir à pleine poitrine. Poitrine que le gars du dessous massacre avec ses grosses pognes calleuses, alors que l’autre lui claque le baigneur à grands coups de battoir, criant combien « elle est bonne, cette salope ». Il s’arrête enfin pour se cambrer en regardant le plafond, grondant son plaisir qui gicle dans les intestins de sa patronne. Il en sort et fait le tour de la table, fourrant son engin dégoulinant d’une substance café au lait dans la bouche toujours grande ouverte, qui l’accueille sans sourciller. J’en ai assez vu, mon pantalon est déformé et mon estomac noué. C’est drôle, pensé-je en redémarrant, combien il est difficile d’être remplacé. On aurait toujours envie d’être celui dont une dame ne peut se passer, qu’elle attend avec impatience et se morfond de l’absence. Je n’étais pas là au bon moment, qu’importe, d’autres mâles étaient là pour me remplacer. Petite consolation, ils étaient deux, moi j’étais seul. En même temps, elle n’a pas braillé autant avec moi, du moins je ne crois pas. Dépité. En même temps, j’étais prévenu, « quand on a envie, on fait » m’avait-elle dit.
J’ai bien essayé d’oublier, mais cette scène totalement pornographique revient hanter mes rêves et me donner des sueurs nocturnes. Un soir cependant, alors que les apprentis de BTS sont en entreprise, mon ...
... portable sonne.
—Jérôme ?… Tu peux te libérer ?… Viens me rejoindre au manège mais gare-toi sur la route…
C’est Éloïse. Qu’a-t-elle donc à me montrer que je ne sache déjà ? C’est toujours l’occasion de la revoir, ce qui n’est pas a priori désagréable. Je range la voiture sur le bas-côté, elle m’attend à la barrière. Petit baiser.
— Viens et ne fais pas de bruit…
Elle m’entraîne vers les stalles en marchant sur les trottoirs de pierres pour éviter les gravillons bruyants. Nous nous introduisons dans un box vide. Aurait-elle envie de se faire sauter dans la paille ? Non, juste monter sur une botte, ce qui nous permet de regarder dans le box voisin. Là, sa maîtresse d’apprentissage est en train d’étriller un joli pur-sang arabe clair et pommelé. Elle lui parle doucement en le brossant, insistant lourdement sous son ventre. Si elle m’a fait venir pour voir comment on étrille un cheval, c’est plutôt moyen. Elle lui parle, le cajole, attache sa bride bien serrée et continue de lui parler en posant un à un ses vêtements. Nom de Zeus, elle est quand même vraiment bien roulée. La quarantaine triomphante et ravageuse. Ça y est, je commence à bander. D’un geste et d’une épingle, elle attache ses cheveux au sommet de son crâne, montrant toute la bonne tenue de son opulente poitrine. Elle ne garde que ses bijoux, comme je l’ai déjà vue. Elle revient vers le cheval, le caresse de nouveau en lui parlant, saisit ses seins avec les mains en coupe et en frotte les pointes sur le ...