1. Éloïse


    Datte: 15/08/2025, Catégories: fh, hplusag, profélève, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... voix rauque :
    
    — Vas-y, couvre-moi, baise-moi, défonce-moi !
    
    Pas besoin de le dire deux fois, surtout quand un cul comme celui-là me tend les fesses. Autant elles sont plates quand elle est debout, autant à quatre pattes elles se développent en deux ovales somptueux, se rejoignant pour former un cœur retourné absolument splendide, et largement séparées par une grosse vulve saillante, velue à souhait ; le poil déjà tout collé de mouille. Je reste debout, la hauteur est parfaite, un passage de gland pour dégager la piste et j’enfourne d’une seule poussée jusqu’aux taquets. C’est large, c’est profond, c’est chaud, c’est trempé, c’est délicieux. Mais il ne faut pas s’attarder, il y a urgence, un incendie à éteindre. Et pour le signifier, elle pose sa joue sur le lit, glisse une main entre ses cuisses et m’empoigne les gesticules, ramonant son clito du même coup. Bien accroché au flipper sans risque de faire tilt, je sonne la charge. En trois jours, ça commence à faire beaucoup, mais c’est comme tout entraînement, plus tu fais et plus tu as envie. Je me penche sur elle pour saisir ses obus qui se baladent au rythme du piston. Je ne sais pas si elle prend ça pour une demande, mais elle s’échappe soudain, se retourne et vient coincer popaul entre ses lourdes mamelles. Bien au chaud entre ses usines à lait, un truc qu’Éloïse aurait été incapable de faire avec ses petits tétons, elle casse le cou pour sucer le petit chauve à chaque fois qu’il réapparaît.
    
    Puis elle se jette sur ...
    ... le dos et ouvre largement les cuisses, musclées, épaisses, accueillantes. Ça ne se refuse pas, j’y plonge. Belle occasion d’admirer sa beauté de près, de tout près, de goûter sa bouche, la peau de son cou et, en me ratatinant, d’aspirer le bout de ses gros seins. Je me régale. Mais madame aime le changement. D’un puissant coup de reins, elle me renverse de côté et vient s’installer sur moi sans déjanter. Grand galop de débourrage, ça ne devait pas aller assez vite pour elle. Couchée sur sa monture ou dressée pour mieux frotter son clito, elle se lâche comme une furie, sa pression monte, elle devient écarlate jusqu’à l’orée des seins. Lesquels je pétris à pleines mains, tirant dessus pour les sucer aussi. La belle déplie ses cuisses et pose ses plantes de pieds sur le plumard en continuant son canter à croupeton, m’écrasant les couilles en s’empalant jusqu’à l’estomac. Brève interruption, elle se soulève en maintenant mon chibre gluant bien dressé et y pose sa rondelle. Nom de Zeus la sensation ! Soudain c’est la trayeuse du producteur de lait qui s’occupe de ma virilité, comme absorbée, broyée, aspirée. Je dois moi aussi avoir des yeux de cheval fou. L’empalement ne doit pas durer très longtemps, enfin je ne sais pas, je ne sais plus, j’ai une explosion dans le bas-ventre et ma citerne se vide dans ses intestins. Elle retombe sur moi, puis roule à côté. Nous sommes épuisés, trempés de sueur, des étoiles de fatigue virevoltent dans mes rétines. Quelle vorace ! Elle remonte un ...
«12...101112...18»