1. Éloïse


    Datte: 15/08/2025, Catégories: fh, hplusag, profélève, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Regardez comme ils se câlinent.
    
    Effectivement, l’un d’eux est attaché à la rambarde et porte une épaisse couverture sur le dos, comme un caparaçon. La jument à ce que je vois, ou ne vois pas. L’autre est tenu par les deux hommes par deux longes, assez libres pour l’instant. Il tourne autour de la femelle, la câline de petits coups de tête, elle semble apprécier et dresse la queue. L’étalon commence à montrer sa virilité. Purée le braquemart ! C’est monstrueux, au moins soixante centimètres de chair, encore un peu molle, qui ballote sous son ventre comme une trompe noire, plus mince vers l’extrémité, taché de rose et terminé par un gros champignon. Il commence à piaffer sévère et à hennir. Il fourre son museau entre les fesses de la jument et l’énorme braquemart gonfle et durcit encore. Les hommes le font reculer et le ramènent en bonne position. Le puissant animal se dresse sur les postérieurs et pose les antérieurs sur le dos de la jument, d’où la couverture. Il risquerait de la blesser et ces bestiaux doivent coûter bonbon. Il avance sur elle en donnant des coups de reins, rate la cible à plusieurs reprises, l’un des hommes attrape la queue de la jument et l’écarte sur le côté, et puis soudain bingo. Le pénis rentre dans la vulve dilatée. Il continue d’avancer, la poussant, elle résiste. Il a la tête sur son encolure et semble lui mordre la crinière. Leurs souffles, leurs râles emplissent l’espace, comme les coups sourds des sabots sur le sol. Le cheval a soudain un ...
    ... sursaut violent, se dresse pratiquement debout, battant l’air un instant, puis retombe sur la femelle en soufflant. Il reste là un instant, puis les palefreniers le tirent en arrière. La trompe ramollie sort du vagin, un petit jet ultime mouille le sol. Ça n’a pas duré longtemps, à peine une minute, mais c’est terriblement impressionnant, d’une beauté sauvage et rare. Tout ce temps, la belle éleveuse a serré sa hanche contre la mienne, poitrine gonflée, retenant son souffle, une main dans l’entrecuisse. J’avoue que moi aussi j’ai une grosse boule dans la gorge et je bande à mort. Elle me colle sans prévenir une main sur la braguette.
    
    — Vous aussi ça vous fait de l’effet ! Moi ça me rend folle. Venez, vite…
    
    Elle n’a pas besoin de s’appuyer, elle traverse la cour en courant presque. Je la suis à grandes enjambées, elle donne un tour de clé derrière moi, puis fonce vers l’escalier. À peine engagée, son pull passe par-dessus sa tête, le soutif au milieu des marches. Arrivée sur le palier, elle pose les bottes une à une, continuant d’avancer à cloche-pied, puis vient le jeans. À la porte de la chambre, il ne lui reste que sa petite culotte, posée en deux pas, dont le fond colle à une vulve débordante de mouille. J’ai laissé ma veste sur la boule d’escalier, ma chemise sur la rambarde. Elle m’arrache presque le pantalon dans une précipitation frénétique. Juste le temps de fourrer ma queue dressée jusqu’au fond de sa gorge puis elle s’agenouille au bord du lit en hurlant d’une ...
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