Intermède imprévu
Datte: 25/06/2025,
Catégories:
fh,
Oral
extraconj,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... entourés des quatre autres membres de l’entreprise eux aussi conviés à ce séminaire.
Fatiguée physiquement, mais l’âme en liberté, je suis intervenue à plusieurs reprises lorsque le jeune conférencier prétentieux et sûr de lui proférait des choses inutiles ou déconnectées de la réalité, sous le regard amusé de Bertrand. La journée a été assez soporifique, on nous a gavés de théories de calcul des risques parfois fumeuses, dont le seul but est en fait de vendre davantage de contrats de prévoyance.
N’ayant pas eu mes heures de sommeil habituelles la nuit précédente, j’étais un peu crevée et Bertrand aussi. Nous sommes allés dîner de bonne heure dans un petit bistrot sympa que je connaissais, mon amant a été adorable, m’a félicitée de mes interventions face au jeune cadre pas encore sec derrière les oreilles, mais qui voulait nous apprendre à calculer. J’étais bien, presque heureuse, et j’ai même oublié, le temps du repas, les ignominies de mon mari, et ma soif de vengeance.
Bertrand et moi sommes rentrés à pied à l’hôtel, nous tenant enlacés comme un vieux couple.
— Tu viens boire le dernier verre chez moi, ce soir, ma beauté ?
— Je ne devrais pas, mais je vais quand même le faire, chaque instant passé avec toi me fait oublier ce qui m’attend au retour et que je vais devoir régler au plus vite.
— Je le sais bien, Christiane, mais profite de cette soirée, mets ton cerveau sur « Off » et savoure le moment présent, les soucis reviendront bien assez vite.
À ...
... peine la porte de sa chambre refermée, j’ai appliqué à la lettre les conseils de Bertrand en me mettant dos au mur et en l’embrassant sauvagement, il a eu l’air surpris, mais a répondu à mon baiser torride. Abandonnant sa bouche, mon regard planté dans le sien, je me suis un peu contorsionnée pour enlever ma culotte et la lui donner.
— Tu te dévergondes, chère collègue, mais tu ne saurais me faire davantage plaisir.
En quelques secondes, Bertrand s’est entièrement déshabillé avant de se coller à moi, de m’embrasser sensuellement et de glisser sa main sous ma robe, vers mon intimité déjà humide. Il m’a caressée avec délicatesse, mais je n’ai pas pu retenir un gémissement de plaisir quand ses doigts se sont introduits en moi, lentement, étirant mes muqueuses et faisant monter en flèche mon excitation.
Folle de désir comme je n’aurais jamais pu imaginer le devenir, j’ai relevé ma robe et empoigné son sexe érigé, relevé une jambe que j’ai plaquée contre la hanche de mon amant et l’ai guidé en moi.
— Prends-moi Bertrand, fais-moi l’amour ici, tout de suite, je te veux en moi !
Soutenant ma jambe repliée, mon délicat collègue s’est glissé en moi d’une seule poussée, me remplissant toute, et s’est mis à effectuer de petits mouvements circulaires de son bassin plaqué contre ma vulve, massant mon clitoris qui ne demandait que cela. Le plaisir est monté d’un cran, j’ai empoigné les fesses de Bertrand pour qu’il me prenne plus profondément encore. Ses mouvements se sont ...