1. Intermède imprévu


    Datte: 25/06/2025, Catégories: fh, Oral extraconj, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Bertrand parti chercher ses affaires, je me suis assise sur le lit, le corps et l’esprit en pleine confusion. J’avais décidé de me venger de mon mari, impulsive, la rage au ventre, sans vraiment réfléchir et prête à hurler ma colère. En guise de vengeance mûrie et planifiée, je me retrouvais entièrement nue dans une chambre d’hôtel, conquise par un collègue aux manières exquises, qui venait de me faire vivre un des orgasmes les plus forts que j’aie connus, en me prodiguant une caresse que je détestais et que jamais je n’avais acceptée de mon mari. Comment cela était-il possible ? Comment en étais-je arrivée là, moi, plutôt pudique et réservée, pour ne pas dire coincée ? Étais-je déjà vengée ?
    
    Le retour de Bertrand a interrompu mes interrogations.
    
    — Voilà Christiane, je me suis douché et j’ai pris quelques effets personnels. J’avoue être un peu déboussolé de ce qui nous arrive, pour moi c’est magnifique, mais je ne m’y attendais pas du tout. Tu viens m’embrasser ?
    
    Je ne me suis pas fait prier pour me pendre à ses lèvres, lui imposant un baiser enflammé sans retenue aucune, j’avais envie de lui, mais je ne savais pas vraiment comment le lui dire, ne voulant pas passer pour une novice. Heureusement, Bertrand savait lire dans le corps et l’âme des femmes, et c’est lui qui a pris les devants.
    
    — Je vais te faire l’amour, Christiane, je veux te voir jouir encore, je veux sentir ton corps voluptueux se coller au mien et se tendre de ...
    ... plaisir, t’entendre crier, sentir tes chairs couler sur moi, lécher ton plaisir, te faire oublier pour par cette soirée la trahison que tu m’as racontée. Ce soir, je suis ton chevalier, ma princesse, et je vais te servir comme il se doit.
    
    Certaines y auraient vu de l’excès, de la mièvrerie voire de la niaiserie, mais moi je fondais sous les mots de ce galant collègue, et j’ai senti le désir renaître dans mon corps oublié. Bertrand s’est déshabillé devant moi, laissant apparaître un corps surprenant, musclé, sec et nerveux, que ses costumes stricts dissimulaient. J’ai appris plus tard qu’il était judoka et continuait de pratiquer, entraînant même les jeunes de son club dans un dojo près de chez moi.
    
    Bien que pudique, je n’ai pas pu ignorer sa virilité fièrement dressée, et les mots orduriers de la poufiasse de mon mari me hantaient encore(j’adore te sucer la queue pour te faire durcir, mon chéri). Je n’aimais pas prendre un sexe en bouche, jugeant cela dégradant et réservé aux prostituées, surtout de la manière dont mon mari avait tenté de me convaincre de lui pratiquer une fellation. Mais là, face à Bertrand qui me regardait et me caressait, j’ai mis ma morale un peu surannée en pause forcée, les circonstances le demandaient, l’exigeaient.
    
    Me laissant glisser aux pieds de mon amant, j’ai saisi son membre et l’ai délicatement empaumé, avant de lui imprimer de lents mouvements de va-et-vient, ne sachant pas vraiment ce qu’attendait mon chevalier.
    
    — Oh, Christiane, ta ...
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