Intermède imprévu
Datte: 25/06/2025,
Catégories:
fh,
Oral
extraconj,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... amplifiés, ma voix est devenue rauque et j’ai juste eu le temps d’émettre une sorte de rugissement quand l’orgasme m’a foudroyée, là, debout contre le mur, ma robe tire-bouchonnée sur mon ventre, sous les yeux rieurs de mon chevalier servant.
— J’adore te regarder jouir, Christiane, c’est d’une beauté sans égale et le plaisir te va merveilleusement bien, ma princesse.
— Et tu sais y faire chevalier, car je suis incapable de te résister. Mais je crois bien que tu n’as pas encore rendu les armes, seule ta princesse mature et un peu enveloppée a connu l’extase, ce qui n’est pas très juste.
Me faisant un peu chatte, j’ai léché le cou de mon bel amant, puis j’ai embrassé, léché sensuellement sa poitrine et me suis agenouillée à ses pieds. Son membre encore brillant de mon miel pointait à la hauteur de mes lèvres, comment résister ?
Je voulais moi aussi le regarder jouir, voir jaillir son jus, le sentir sur ma peau. Ma main a enserré la colonne de chair poisseuse et j’ai commencé à la masturber lentement, ma langue tournant autour de son gland violacé, agaçant le frein, titillant le méat, embouchant parfois l’entier du sceptre pour en sentir la raideur dans ma bouche.
— C’est trop bon ma chérie, tu es d’une sensualité incroyable… oh… ta langue sur mon gland me rend fou, je ne peux plus me retenir… Attention, Christiane, je vais… Oh… Mmmm… Ooohh… ! Christiane !!!
J’ai senti la montée de la sève dans le membre viril soudain agité de spasmes et j’ai vu jaillir le ...
... sperme, dont le premier jet s’est écrasé sur mon cou et les autres, moins puissants, ont atteint ma robe au niveau de mes seins. Ma poitrine était désormais ornée d’épaisses traînées blanchâtres, bien visibles sur le bleu nuit du tissu. Maintenant décalotté, le sexe encore dans ma main, j’ai recueilli, d’un coup de langue gourmand, les dernières gouttes qui perlaient à l’extrémité, et relevant la tête vers mon merveilleux amant, je les ai avalées puis, de mon index, j’ai prélevé sur ma poitrine un peu de la liqueur dont elle était souillée et l’ai portée à mes lèvres.
— Regarde mon beau mâle, je bois ton plaisir comme je bois tes mots, avec délice, avec passion, tellement ils me transportent vers des sensations inconnues.
Je me suis relevée, échevelée et tachée, mais incroyablement fière. J’ai embrassé Bertrand puis j’ai bombé le torse, mettant en avant les coulures de son sperme.
— Tu vois Bertrand, les soldats et les héros sont souvent fiers d’arborer sur leur poitrine décorations et médailles, preuves de leurs hauts faits d’armes et de leur bravoure. Toi, mon… mon… chéri, tu viens de me décorer de la plus belle manière en déposant sur ma gorge tes médailles et rubans du plaisir, et j’en suis très fière. Tu crois que je peux aller au boulot comme cela, demain ? C’est un bijou original, non ? Oh, j’ai une idée, prends-moi en photo s’il te plaît, tiens, utilise mon smartphone.
— Je t’adore, Christiane, tu es une tout autre femme que celle que je croyais connaître, bien ...