Travaux pratiques
Datte: 30/05/2025,
Catégories:
fff,
jeunes,
caresses,
intermast,
init,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... la place de nos mains, moulant ma paume sur sa vulve. J’en découvre les formes douces et souples, étonnamment charnues. Mon majeur joue dans la mouille d’une fente à peine éclose, les nymphes s’étalent sous l’index et l’annulaire.
Les reins de Marion se cambrent par saccades. Son bassin se pousse contre mes caresses. Son buste roule sous nos bouches. Nos succions étirent ses mamelons. Elle presse durement ma main sur son sexe, lui impose des va-et-vient affolés. La boule dure de son clitoris se précise. Je l’écrase, elle gémit et se plaque plus fort. Ma paume s’agite plus vite dans un bain de cyprine. Une plainte continue lui répond et culmine dans un cri. Le corps s’arque et retombe.
Le silence revient. Marion reprend son souffle. Des larmes perlent à ses paupières closes. Nos baisers volettent sur ses seins. Sa poitrine palpite. Je retire la main de sa fourche, l’une et l’autre inondée. Babette renifle mes doigts et grimace. Je l’imite et les goûte. Marion ouvre les yeux et rougit.
— Non ! Je suis sale !
Sa mouille est forte, âcre, et délicieusement odorante.
— Mais non ma puce, il n’y a rien de sale.
— Je ne m’étais pas lavée, Marraine, argue-t-elle gênée.
Je lui souris en léchant mon index malgré ses ...
... dénégations inquiètes.
— Moi non plus je n’ai pas fait toilette, Babette non plus, ma chérie. Chacune a son parfum corporel, son goût intime, si tu préfères. Et j’aime beaucoup le tien : ç’aurait été dommage de s’en priver ! Tu veux essayer ?
Elle regarde en hésitant puis se décide à tâter le majeur du bout de la langue. Son visage s’éclaire. Elle suce soigneusement toutes les phalanges.
— C’est vrai, c’est bon, c’est excitant ! Plus que d’habitude, avoue-t-elle enthousiaste, mieux que quand je suis propre !
— Une fois, commence Babette songeuse, j’ai entendu Maman dire qu’une chatte doit sentir la chatte, pas la savonnette…
— Christine a raison. C’est à toi qu’elle l’a dit ?
— Non, elle parlait avec une amie à elle. Dis, Marraine, je peux goûter aussi ?
Je lui tends le seul doigt qui soit encore englué. Elle le tète avec prudence avant de l’engouler avec plaisir.
— Ah oui ! Je reconnais l’odeur de Marion, mais en plus fort. Meilleur, aussi ! J’aime bien… Et alors, reprend-elle, c’est pareil pour moi ?
— Sans doute, ma grande, mais vous ne m’avez plus rien laissé, vilaines gourmandes ! Allez, coquinette, dis-je à Marion en claquant gentiment sa cuisse, ouvre-moi ça en grand. Je vais nettoyer ce qui reste.
À suivre…